Translation of "Front" in Portuguese

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Examples of using "Front" in a sentence and their portuguese translations:

Pouvons-nous y faire front ?

Nós podemos lidar com isto.

Et quand il va au front

E quando ele está indo para a frente

Son front se perlait de sueur.

Em sua testa, havia uma gota de suor.

Il m'a embrassé sur le front.

Ele me beijou na testa.

Tom embrassa Mary sur le front.

Tom beijou a testa de Maria.

Son front était baigné de sueur.

Sua testa estava encharcada de suor.

Elle l'a embrassé sur le front.

Ela o beijou na testa.

- Tom déposa un baiser sur le front de Mary.
- Tom embrassa Mary sur le front.

O Tom beijou a Mary na testa.

Il essuya la sueur de son front.

Ele secou o suor da testa.

Je déposai un baiser sur son front.

Beijei-a na fronte.

Il porta la main à son front.

Ele colocou a mão na testa.

Il embrassa sa fille sur le front.

- Ele beijou sua filha na testa.
- Ele beijou a filha dele na testa.
- Ele beijou a filha na testa.

- Pas de nouvelles du front occidental.
- À l'ouest rien de nouveau.
- Rien de nouveau sur le front occidental.

Nada de novo na frente ocidental.

Tom déposa un baiser sur le front de Mary.

O Tom beijou a Mary na testa.

Tout en envoyant sa femme et ses enfants au front

enquanto envia sua esposa e filhos para a frente

Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front.

Comerás teu pão com o suor do teu rosto.

Il s'est cogné le front contre la branche d'un arbre.

Ele bateu a testa contra o galho de uma árvore.

Un des hommes avait une grande cicatrice rouge sur le front.

Um dos homens tinha uma grande cicatriz vermelha na testa.

Mon fils a trébuché est s'est entaillé le front sur le coin de la table basse.

Meu filho tropeçou e cortou a testa na quina da mesa de centro.

Audience we have a couple of mics down the front here if you have any questions

Nós temos alguns microfones aqui na frente.

Leur ligne de front est un mur de 10 000 cavaliers provenant des quatre coins de l'empire

Sua linha de frente era uma parede de cavalaria, sobre 10.000 cavaleiros de todo o império - Medes

Tournez le front avec un sourire, car aujourd’hui je vais vous apprendre à parler couramment en 6 mois.

Vire a testa com um sorriso, porque hoje vou te ensinar como se tornar fluente em 6 meses.

À ces mots ma voix meurt, mes sens sont oppressés, / et mes cheveux d'horreur sur mon front sont dressés.

Com os cabelos em pé, presa a voz à garganta, / aparvalhado pelo susto estaco.

N'y a pas une partie de mon corps - sauf le front, au moins, - qui ne porte pas une blessure. Mon

Não dá uma parte em meu corpo - a fronte, ao menos - que não possua uma ferida. Meu

Par un berger troyen sa beauté dédaignée, / l'odieux jugement qui fit rougir son front, / Hébé pour Ganymède essuyant un affront.

Do coração no fundo ainda gravado / estava aquele iníquo julgamento / de Páris, que a beleza lhe ofendera / com tanto menosprezo; nem a raça / odiosa dos troianos olvidara, / sequer as honras ao raptado Ganimedes.

Rien ne paraît. Soudain s'offrent à ses regards / trois cerfs au front superbe, errant dans la campagne ; / un jeune et long troupeau de loin les accompagne.

Nenhum barco aparece no horizonte, / mas Eneias avista, errando pela praia, / três cervos; segue atrás todo um rebanho, / pastando, em longa fila, pelos vales.

Il dit ; et dans son sein renfermant sa douleur, / la gaîté sur le front, la tristesse dan l'âme, / d'un espoir qu'il n'a pas le héros les enflamme.

Tais palavras seus lábios articulam, / mas, presa de cruéis preocupações, / Eneias finge apenas esperança: / no coração sufoca ingente dor.

Il dit, donne l'exemple, et sur son bras guerrier / d'Androgée expirant charge le bouclier, / saisit de ce héros l'épée étincelante, / de son casque embelli d'une aigrette flottante / pare son front superbe.

De Andrógeos ele toma o elmo emplumado / e o broquel decorado com vistoso / brasão, e prende à cinta a espada argiva.

Car elle me comprend, et mon cœur, transparent pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.

Ela me entende o coração, que é transparente / para ela apenas (ai de mim!), que o pode ler / qual livro aberto. Ela, tão só, sabe, plangente, / minha fronte febril e suada arrefecer.

La fureur me conseille un moyen plus affreux : / Une tour, dont le front s'élevait jusqu'aux cieux, / placée au bord du comble, y semblait suspendue ; / de là de Troie entière on voyait l'étendue, / les pavillons des Grecs, et leurs mille vaisseaux.

No telhado em declive se apoiava / torre altaneira, cujo píncaro buscava / as nuvens alcançar; Troia inteirinha / descortinava-se dali, e o arraial / e a frota dos argivos.

Là, fuyait désarmé le malheureux Troïle, / faible enfant dont l'audace osa braver Achille ; / à son char suspendu, les rênes à la main, / il emporte le dard enfoncé dans son sein ; / d'un long sillon de sang le trait marque la plaine, / et son front tout poudreux est traîné sur l'arène.

Noutro quadro está Troilo, pobre moço, / vencido em desigual combate por Aquiles: / deixadas para trás as armas e caído / de costas no seu carro, ainda segura as rédeas, / sem guiar os ginetes apressados; / e, pendente, a cerviz e a cabeleira / tem arrastadas pela estrada enquanto a ponta / da mortal lança vai riscando a terra.

Tous deux nagent de front, tous deux des mers profondes / sous leurs vastes élans font bouillonner les ondes. / Ils abordent ensemble, ils s'élancent des mers ; / leurs yeux rouges de sang lancent d'affreux éclairs, / et les rapides dards de leur langue brûlante / s'agitent en sifflant dans leur gueule béante.

Um rumor faz-se ouvir na salsa espuma: / já sobre a terra os monstros se projetam, / os olhos cor de sangue e fogo a fuzilar / e dardejando as fauces sibilantes, / continuamente, as línguas bífidas vibrantes.

Déjà d'un doux repos je savourais les charmes, / quand je crus voir Hector, les yeux noyés de larmes, / pâle, et tel qu'autrefois sur la terre étendu, / au char d'un fier vainqueur tristement suspendu, / hélas ! et sous les tours de Troie épouvantée / il marquait de son front l'arène ensanglantée.

Eis me aparece em sonho Heitor, acabrunhado, / debulhando-se em lágrimas ardentes, / de negro pó sanguinolento recoberto, / tal como quando pela biga era arrastado, / a correia a passar-lhe através das feridas / dos pés inchados.

Anius vient à nous, le front ceint à la fois / du laurier prophétique et du bandeau des rois ; / il voit, il reconnaît, il embrasse mon père, / tend à son vieil ami sa main hospitalière, / et, reserrant les nœuds d'une antique union, / reçoit dans son palais les restes d'Ilion.

Ânio, que o cetro de regente ostenta / e o sacerdócio exerce, as têmporas cingidas / do loureiro febeu e de ínfulas sagradas, / ao nosso encontro vem, e, o velho amigo Anquises / reconhecendo, hospitaleiro nos aperta / as mãos e nos conduz ao seu palácio.

Des deux côtés du port un vaste roc s'avance, / qui menace les cieux de son sommet immense ; / balancés par les vents, des bois ceignent son front ; / a ses pieds le flot dort dans un calme profond ; / et des arbres touffus l'amphithéâtre sombre / prolonge sur les flots la noirceur de son ombre.

De ambos os lados, vasta é a penedia / e contra o céu projetam-se dois cumes, / ao pé dos quais, por longo espaço, as águas / proporcionam seguro e calmo abrigo. / No alto, um cenário de árvores frondosas / batidas pelo vento, um bosque espesso / que para baixo estende escura sombra.

Le père accourt : tous deux à son tour le saisissent, / d'épouvantables nœuds tout entier l'investissent ; / deux fois par le milieu leurs plis l'ont embrassé, / par deux fois sur son cou leur corps s'est enlacé ; / ils redoublent leurs nœuds, et leur tête hideuse / dépasse encor son front de sa crête orgueilleuse.

Os demônios depois investem contra o pai, / que em socorro acorria, de arma em punho; / vão-no envolvendo espiras poderosas: / já duas a cintura lhe constringem / e mais duas o colo, ainda sobrando / dos corpos escamosos os pescoços / e as cabeças erguendo-se medonhas.

Elle était vêtue d’une robe blanche comme le jour de notre union, et portait encore dans ses cheveux la couronne de fleurs d’oranger, dernière parure virginale de la jeune épouse, que mes mains n’avaient pas détachée de son front. Elle m’aperçut, me reconnut, jeta un cri et tomba dans mes bras mourante de joie et de surprise. J’étais éperdu.

Ela trajava um vestido branco, como no dia de nossa união, e ainda trazia nos cabelos o derradeiro adereço virginal da jovem esposa, aquela coroa de flores de laranjeira que minhas mãos não tinham retirado de sua fronte. Ela me viu, me reconheceu, soltou um grito e caiu em meus braços morrendo de alegria e surpresa. Fiquei alucinado.

Ainsi Créuse en pleurs, exhalant ses alarmes, / remplit l'air de ses cris, me baigne de ses larmes, / lorsqu'un soudain prodige épouvante nos cœurs : / aux yeux et dans les bras de ses parents en pleurs, / sur la tête d'Ascagne une flamme rayonne, / tourne autour de son front en brillante couronne, / et, d'un léger éclair l'effleurant mollement, / autour de ses cheveux se joue innocemment.

Do seu pranto o alarido enchia a casa inteira, / quando incrível prodígio aconteceu, / pois em nossa aflição, ao abraçar Ascânio, / súbito vimos-lhe a cabeça coroar-se / de chama tênue, cuja luz inofensiva / lhe beijava os cabelos cacheados, / sustentando-se em torno às delicadas fontes.

" Mais du moment funeste / qu'Ulysse, de forfaits détestable inventeur, / que le fils de Tydée, affreux profanateur, / osèrent, à travers la garde massacrée, / enlever sur l'autel son image sacrée, / et que leur bras sanglant d'un sacrilège affront / souilla les saints bandeaux qui couronnent son front, / dès lors plus de succès, plus d'espoir ; la déesse / à son triste destin abandonna la Grèce. / Plus d'un signe effrayant signala son courroux. "

"Mas, desde quando o herético Diomedes / e esse artista do crime, que é Ulisses, / resolveram de um templo consagrado, / em Troia, arrebatar o paládio fatal, / no alto da cidadela assassinando os guardas / e apoderando-se da santa estátua / (sanguinolentas mãos ousando profanar / as ínfulas da deusa virginal), / desde então começaram a minguar / as esperanças dos argivos, cujas forças / a pouco e pouco foram-se exaurindo, / deles se havendo distanciado Palas, / que por vários prodígios deixou claro / seu desagrado."

La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.

Já todos os navios se encontravam / na praia em seco; a juventude já tratara / de arranjar casamento e cultivava os campos; / eu definia normas de conduta / e locais onde surgiriam novas casas, / quando uma peste repentina assoladora, / de causar dó, pelo ar mefítico trazida, / homens e plantas e searas contamina, / ceifando vidas e esperanças de colheita.

Telle, dans tout l'éclat de sa divinité, / quand Diane paraît, quand ses jeunes compagnes, / les nymphes des forêts, des vallons, des montagnes, / sur lhes hauteurs du Cynthe, au bord de l'Eurotas, / bondissant en cadence, accompagnent ses pas : / à la tête des chœurs, Diane, au milieu d'elles, / surpasse en majesté toutes ces immortelles : / jeune, le front paré de son croissant divin, / un carquois sur l'épaule, et son arc à la main, / elle marche ; sa grâce en marchant se déploie, / et le cœur de Latone en palpite de joie.

Qual Diana a marcar – aljava ao ombro – / o compasso da dança pelas margens / do Eurotas, pelos píncaros do Cinto; / mil Oréades seguem-na formando / grupos ao seu redor, enquanto ela, mais alta / que todo o séquito das ninfas, se destaca / avançando garbosa e enchendo o coração / de Latona de um júbilo secreto.

Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.

Na claridade, Eneias aparece, / qual um deus no semblante e na postura; / com seu sopro divino, a genitora / dera ao filho formosa cabeleira, / da juventude o róseo viço e a sedutora / graça que de seus olhos se irradiava: / qual pelas mãos do artista se realça / do marfim a beleza, ou quando em rútilo ouro / se engasta a prata ou o mármore de Paros.