Examples of using "Lainkaan" in a sentence and their french translations:
- Je ne suis pas fatiguée du tout.
- Je ne suis pas fatigué du tout.
- Je ne suis pas du tout fatigué.
- Je ne suis pas du tout intéressé.
- Je ne suis pas du tout intéressée.
Il travaille à peine.
Il ne parle pas du tout le français.
- Je ne m'intéresse pas du tout à la politique.
- La politique ne m'intéresse pas du tout.
- Pas de problème.
- Pas de lézard.
- Pas de souci.
Je ne suis pas du tout d'accord avec vous.
Je n'ai presque plus d'argent de reste.
- Avez-vous des sœurs ?
- As-tu des sœurs ?
Je n'ai presque plus d'argent, maintenant.
- Tu es tellement impatiente avec moi.
- Tu es tellement impatient avec moi.
Il n'y avait pas de lumière.
mais le « pratiquer » était rare.
Tu n'as pas du tout changé.
Il n'a pas étudié du tout.
- Je ne suis pas du tout convaincu.
- Je ne suis pas du tout convaincue.
Il n'a pas étudié du tout.
Je ne comprends pas l'anglais, et l'allemand encore moins.
- Je ne peux pas du tout nager.
- Je ne sais pas du tout nager.
- Ça n'a aucun sens.
- Ça n'a ni queue ni tête.
- Ça'a pas d'allure.
Je ne comprends rien à son raisonnement.
Un mois est passé et le travail n'a pas avancé.
Je ne m'intéresse pas du tout à la chimie.
Il ne regarde pas du tout la télé.
- Ils ne sont pas du tout intéressés.
- Elles ne sont pas du tout intéressées.
Si ce n'était pas pour le soleil nous ne pourrions pas vivre du tout.
- Ça ne fait pas du tout mal.
- Ça ne fait pas mal du tout.
C'est certes un vieux vélo, mais mieux que pas de vélo du tout.
Il ne fut pas du tout satisfait du résultat.
Je ne serais pas surpris que de nombreux membres de Tatoeba soient également des joueurs de Scrabble compulsifs.
Je n'ai presque plus d'argent de reste.
Il n'y avait aucun signe de vie.
Les médicaments n'ont pas du tout aidé.
- Tom n'a pas de manières.
- Tom est mal élevé.
- Ça ne fait pas du tout mal.
- Ça ne fait pas mal du tout.
Le fait qu’une phrase ait été écrite par un locuteur natif ne constitue aucunement une garantie.
Tom parle à peine le français.
Il n'y avait aucun signe de vie.
- Je ne parle pas français du tout.
- Je ne parle pas du tout français.
Je ne comprends pas du tout l'allemand.
Il y avait une fois, une femme qui aurait bien voulu avoir un tout petit enfant, mais elle ne savait pas du tout comment elle pourrait se le procurer.
- Je ne suis pas fatiguée du tout.
- Je ne suis pas fatigué du tout.
- Je ne suis pas du tout fatigué.
- Si ce n'avait été par ta stupidité, nous n'aurions jamais eu tous ces ennuis.
- Si ce n'avait été par votre stupidité, nous n'aurions jamais eu tous ces ennuis.
Elle n'a pas d'ennemis.
- Je ne parle pas français du tout.
- Je ne parle pas du tout français.
- Je ne sais pas du tout parler français.
- Je ne parle pas français du tout.
- Je ne parle pas du tout français.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.