Examples of using "Rolling" in a sentence and their french translations:
* Rouler sur l'asphalte *
Elle est toute cousue d'or.
Que la fête commence !
Ils ont cessé de lever les yeux au ciel.
Il roulait dans le hall,
Chers amis des loisirs roulants,
trouve la maison roulante de la famille Ruppert:
circulation roulait toujours sur la Luisenplatz.
Votre voiture est un atelier roulant.
Les larmes coulaient de ses joues.
Pierre qui roule n'amasse pas mousse.
Ce mec roule sur l'or.
Je suis saoul.
- Elle est toute cousue d'or.
- Elle est blindée.
- Elle est pleine aux as.
Quel est votre album des Rolling Stones préféré ?
Une fois que j'étais lancé, c'était incroyable.
Les gens devraient danser à côté des voitures qui roulent.
Les enfants faisaient rouler une grosse boule de neige.
Il accumule les richesses.
Une balle de baseball vint rouler à mes pieds.
déployer et faire en sorte de devenir permanent,
- Elle est blindée.
- Il est blindé.
Tu aplatissais la pâte.
et une fois que je suis lancé, on est au top, ce sera génial.
« Pierre qui roule n'amasse pas mousse » est un proverbe.
Elle le déploie en une fraction de seconde.
Quand les affaires tourneront, nous parlerons d'une augmentation.
et ça va continuer à rouler et créer cet effet boule de neige.
et j'ai appris à utiliser ma potence d'intraveineuse comme un skateboard.
Si notre grand-père voyait ça, il se retournerait dans sa tombe.
de parler devant la caméra,
j'étais juste là, regardant le mur, avec des larmes qui coulaient sur mon visage.
la Chine est en train de déployer un système de crédit social
Mon ancienne professeur d'anglais doit sûrement se retourner dans sa tombe à l'heure qu'il est.
Elle a toujours envie d'avoir des relations sexuelles, dit-elle, surtout lorsque la caméra tourne.
Un Dreamliner avec 179 passagers roule toujours devant lui au Caire.
Il amasse du cash.
- Mamie saupoudra de la farine sur le rouleau à pâtisserie pour ne pas que la pâte y adhère.
- Grand-mère saupoudrait de la farine sur le rouleau à pâtisserie pour que la pâte n'y colle pas.
- J'ai beaucoup d'argent.
- Je dispose de beaucoup d'argent.
- J'ai beaucoup d'argent.
- Je dispose de beaucoup d'argent.
Il dit ; et de plus près / les flammes cependant menacent le palais ; / et, d'un cours plus rapide avançant vers leur proie, / en tourbillons fougueux leur fureur se déploie.
Enfin, le jour suivant, le noir horizon s'ouvre ; / des monts dans le lointain le sommet se découvre, / et leur vapeur s'élève en tourbillons fumeux.
" Dans le long cours des ans, / un jour, un jour viendra qu'en tous lieux triomphants, / à la superbe Argos, à la fière Mycènes, / les fils d'Assaracus imposeront des chaînes ; / les enfants des vaincus, tout-puissants à leur tour, / aux enfants des vainqueurs commanderont un jour. "
" Un jour, du grand Teucer rejetons glorieux, / les Romains, disiez-vous, règneraient en tous lieux ; / un jour leur race illustre, en conquérants féconde, / gouvernerait la terre, assujettirait l'onde. / Vous me l'aviez promis : qui vous a fait changer ? "
Les gens s’inquiètent beaucoup plus de l’éternité après leur mort que de l’éternité qui s’est passée avant qu’ils ne soient nés. Mais c’est la même quantité d’infini, se déroulant dans toutes les directions depuis l'endroit où l'on se trouve.
" Mais les plus éclairés, se défiant des Grecs, / veulent que, sans tarder, ces présents trop suspects / soient livrés à la flamme, ou plongés dans les ondes, / ou qu'on en fouille au moins les cavités profondes. "
" Il est des bords fameux que l'on nomme Hespérie, / qu'autrefois ont peuplés des enfants d'Œnotrie, / riche et puissant empire. Italus, nous dit-on, / augmenta sa splendeur, et lui donna son nom. "
Tous deux nagent de front, tous deux des mers profondes / sous leurs vastes élans font bouillonner les ondes. / Ils abordent ensemble, ils s'élancent des mers ; / leurs yeux rouges de sang lancent d'affreux éclairs, / et les rapides dards de leur langue brûlante / s'agitent en sifflant dans leur gueule béante.
Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée / marqua par cent malheurs sa mort infortunée, / il périt, en voyant de ses derniers regards / brûler son Ilion et tomber ses remparts. / Ce potentat, jadis si grand, si vénérable, / n'est plus qu'un tronc sanglant, qu'un débris déplorable, / dans la foule des morts tristement confondu, / hélas ! et sans honneur sur le sable étendu.