Examples of using "Mortal" in a sentence and their french translations:
- L'être humain est-il mortel?
- Est-ce que l'homme est mortel?
L'homme est mortel.
Tous les êtres humains sont mortels.
La chair est mortelle.
- Tout homme est mortel.
- Tous les hommes sont mortels.
Tous les hommes sont mortels, Socrate est un homme, donc Socrate est mortel.
La nature est au-delà du contrôle des mortels.
Tous les êtres humains sont mortels.
- L'être humain est-il mortel?
- Est-ce que l'homme est mortel?
Tom est notre ennemi juré.
Les ennemis mortels sont des amis immortels.
Nous savons que tous les hommes sont mortels.
Tous les hommes sont mortels, or Socrate est un homme, donc Socrate est mortel.
Tous les hommes sont mortels, or les Grecs sont des hommes, donc les Grecs sont mortels.
Tous les passagers sont en danger de mort.
Nous savons que tous les hommes sont mortels.
Les dieux ont décrété que l'homme est mortel.
Tous les hommes meurent. Tom est un homme. Par conséquent, Tom mourra.
les fonctionnaires courent le même danger de mort que moi.
L'homme est mortel.
Selon des modérateurs tatillons, les non-phrases constituent un danger mortel pour Tatoeba.
L'homme est mortel en raison de ses peurs et immortel en raison de ses espoirs.
« Tous les humains sont mortels » est une observation empirique basée sur des millénaires d'expérience.
" Si Troie avait pu l'être, Hector l'aurait sauvée : / je combattis Achille, et me soumis aux dieux. "
" Ah ! si ce peuple affreux brave les lois humaines, / il est, il est des dieux qui, par de justes peines, / récompensent le crime et vengent le malheur. "
De ses 1,5 mètre de haut, ce mammifère de 100 kilos est puissant et parfaitement capable d'infliger des blessures mortelles.
" Viens, je vais dissiper les nuages obscurs / dont sur tes yeux mortels la vapeur répandue / cache ce grand spectacle à ta débile vue. / Écoute seulement, et, docile à ma voix, / d'une mère qui t'aime exécute les lois. "
Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "
La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.