Examples of using "Knees" in a sentence and their french translations:
Ses genoux se dérobèrent.
- Mets-toi à genoux.
- Mettez-vous à genoux.
- À genoux !
- Mets-toi à genoux !
- Agenouille-toi !
- Agenouillez-vous !
Elle a senti ses genoux trembler.
L'eau arrivait au niveau de mes genoux.
J'étais à genoux.
- À genoux !
- Mettez-vous à genoux !
- Agenouille-toi !
- Agenouillez-vous !
Il est tombé à genoux.
Tom sentit ses genoux trembler.
- Elle pouvait ressentir comme ses genoux tremblaient.
- Elle pouvait sentir ses genoux trembler.
J'ai senti une faiblesse dans les genoux.
Je t'en supplie à genoux.
Je n'ai ni genoux ni cuisses.
L'eau arrivait au niveau de mes genoux.
Nancy posa ses coudes sur les genoux.
Elle a prié Dieu à genoux.
Elle posa les coudes sur les genoux.
Nancy posa ses coudes sur ses genoux.
Le gamin a trébuché et est tombé sur les genoux.
Et c'est à genoux que je la suppliai.
Elle s'est agenouillée et a prié.
Tom s'est agenouillé.
Pliez les genoux, et regardez en avant.
Elle est tombée sur les genoux en traversant la rue.
faire du vélo, s'accroupir ou s'agenouiller pendant l'entraînement de football.
A l'église beaucoup de gens se mettent à genoux pour prier.
Mieux vaut mourir debout que vivre à genoux.
Tout ce dont vous avez besoin de genoux n'est pas possible avec moi:
Quand vous faites du skateboard, ça vous met les genoux à rude épreuve.
Mes parents ont dit que ça porte malheur de marcher à genoux.
Le peuple était meurtri, et les villes exsangues.
Il est préférable de mourir debout que de vivre à genoux.
Des années à courir les marathons ont eu des effets négatifs sur mes genoux.
« Mets tes mains sur les hanches et serre les genoux
Ah ! je meurs, dit Pierrette en tombant sur ses genoux. Qui me sauvera ?
Il s'agenouilla et pria pour les âmes des défunts.
Je peux placer la paume des mains sur le sol sans plier les genoux.
Si tu veux m'épouser, tu dois te mettre à genoux et me donner une bague.
Pareil est son habit, pareil est son carquois ; / sa flèche semble attendre un habitant des bois ; / un souple brodequin compose sa chaussure ; / au-dessus du genou, les nœuds de sa ceinture / de ses légers habits serrent les plis mouvants / et ses cheveux épars flottent au gré des vents.
Et déjà sur la tombe appuyant mes genoux, / lutant contre la terre, et redoublant de force, / d'un troisième arbrisseau ma main pressait l'écorce, / quand du fond du tombeau ( j'en tremble encor d'effroi ! ) / une voix lamentable arrive jusqu'à moi :