Examples of using "Gaze" in a sentence and their french translations:
- Elle baissa le regard.
- Elle a baissé le regard.
Suivez mon regard !
- Il évita son regard.
- Il a évité son regard.
Il évita ses yeux.
- Elle baissa le regard.
- Elle a baissé le regard.
Il me lança un regard pénétrant.
Son regard erra dans l'auditorium.
L'amour brille à travers son regard.
Ils créaient des télescopes pour admirer les étoiles.
Marie ondule des hanches pour attirer le regard concupiscent des hommes.
Elle avait un regard profond et de très jolis yeux d'un brun ambré.
Mais dans la quiétude de mon appartement, loin du regard de mon professeur,
et elle adorait s'en servir pour fixer attentivement d'autres gens dans les yeux.
Ne regarde pas dans l'abîme. Autrement, l'abîme regardera en toi.
Tom aimait rester assis à l'extérieur pendant les chaudes nuits d'été et contempler les étoiles.
- Celui qui lutte contre les monstres doit veiller à ne pas le devenir lui-même. Or, quand on regarde trop longtemps au fond d'un abîme, l'abîme, lui aussi, vous regarde.
- Celui qui se bat avec des monstres doit veiller à ne pas devenir lui-même un monstre. Et quand vous regardez longtemps dans un abîme, l'abîme regarde aussi en vous.
Fixé sur ces tableaux, qu'il contemple à loisir, / le héros s'enivrait d'un douloureux plaisir : / soudain Didon paraît. Appui de sa couronne, / de ses jeunes guerriers l'élite l'environne ; / la grâce dans ses traits est jointe à la fierté.
Je marche vers ces lieux ; mais son œil de plus près / à peine eut reconnu mon visage, mes traits, / distingué mes habits et mes armes troyennes, / elle tombe : son sang s'est glacé dans ses veines. / Elle reste longtemps sans force et sans couleur ; / mais enfin, rappelant un reste de chaleur :
" Viens, je vais dissiper les nuages obscurs / dont sur tes yeux mortels la vapeur répandue / cache ce grand spectacle à ta débile vue. / Écoute seulement, et, docile à ma voix, / d'une mère qui t'aime exécute les lois. "
Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée / marqua par cent malheurs sa mort infortunée, / il périt, en voyant de ses derniers regards / brûler son Ilion et tomber ses remparts. / Ce potentat, jadis si grand, si vénérable, / n'est plus qu'un tronc sanglant, qu'un débris déplorable, / dans la foule des morts tristement confondu, / hélas ! et sans honneur sur le sable étendu.