Examples of using "Fleet" in a sentence and their french translations:
de la flotte républicaine.
de la flotte romaine de moitié.
La compagnie aérienne a immobilisé sa flotte.
Peu de temps après, la flotte de Sweyn s'écrase sur les navires d'Olaf.
Fokko Doyen était le chef de la flotte.
et cherchent à décarboner tout leur parc automobile.
alors que ma flotte avait déjà navigué sur le Golfe Persique.
avions de la flotte A350 de Munich à Francfort.
Sweyn laisse la plupart de la flotte norvégienne passer sans encombre.
avec une flotte de navires pour protéger le littoral.
La flotte MD-11 sera également bientôt retirée,
Donc ces dernières années, une flotte de drones marins
Enfin, la flotte ottomane rencontra Mehmed le 1er juin.
Après huit ans, il est passé à la flotte de fret en tant que capitaine.
La flotte A380 de Lufthansa sera prête début avril.
Cela supportait le positionnement de la flotte romaine
Le premier étant sa flotte nettement inférieure à celle de ses ennemis
Les Romains ont appris que les Carthaginois ont une flotte plus importante dans la région, sauf que
Pendant l'été 1015, une flotte d'invasion s'est rassemblée sur la pointe de la côte du Kent
les tribus de la vallée du Pô sont arrivées, avertissant Hannibal qu'une flotte romaine est ancrée à proximité.
Ils dirigent leurs navires vers une partie de la flotte carthaginoise, se précipitant à bord de l'ennemi.
ce qui permettrait à la flotte ottomane de remonter le fleuve depuis la Mer Noire. Mais
La flotte de pêche japonaise capture chaque année plus de mille baleines sous prétexte de recherche scientifique.
Trahi par son allié, Olaf fait face à une flotte de 71 navires avec seulement 11 navires.
" O fureur ! Quoi ! Pallas, une simple déesse, / a bien pu foudroyer les vaisseaux de la Grèce ; / soldats, chefs, matelots, tout périt sous ses yeux : / Pourquoi ? pour quelques torts d'un jeune furieux. "
Christophe Colomb est connu comme tacticien de renom. Une fois, il a coulé une flotte pirate en leur volant tous leurs fruits et légumes, les condamnant ainsi au scorbut.
" De cent fameux combats on recherche la trace : / ici le fier Pyrrhus signalait son audace ; / là le fils de Thétis rangeait ses bataillons ; / ici c'était leur flotte, et là leurs pavillons. "
La fureur me conseille un moyen plus affreux : / Une tour, dont le front s'élevait jusqu'aux cieux, / placée au bord du comble, y semblait suspendue ; / de là de Troie entière on voyait l'étendue, / les pavillons des Grecs, et leurs mille vaisseaux.
" Évite ce malheur. En vain de ton départ / les tiens impatients accusent le retard ; / en vain le vent t'appelle, en vain le temps te presse ; / toi-même va trouver, consulter la prêtresse ; / qu'elle-même te parle, et de ses rocs profonds / laisse échapper pour toi ses prophétiques sons, "
Le mythique Kraken, trois fois plus gros qu'un bateau, attaqua un jour la flotte de Christophe Colomb... ne laissant d'autre choix à ce dernier que de manger le Kraken.
En face, un antre frais, sous des rochers pendants, / fait jaillir une eau douce en ruisseaux abondants ; / autour règnent des bancs taillés par la nature. / La naïade se plaît sous cette grotte obscure, / qui présente à la fois un antre aux matelots, / une eau pure à la soif, un asile au repos; / et, sans qu'un fer mordant par son poids les arrête, / les vaisseaux protégés y bravent la tempête.
" Souffrez qu'en vos forêts notre triste naufrage / retrouve les secours que nous ravit l'orage. / Si le pieux Énée à nos vœux est rendu, / si dans les champs latins son peuple est attendu, / vers ces bords désirés nous suivrons notre course. "
" Enfin du mont Ida le bois religieux, / là nous attend le sort, là nous guident les dieux. / Mais apaisons d'abord les puissances de l'onde ; / et, si le vent nous sert, si le ciel nos seconde, / trois jours nous porteront sur ces bords désirés. "
Dans l'ombre de la nuit, un célèbre guerrier, / Androgée, à nos coups vient s'offrir le premier. / Un corps nombreux le suit, il s'avance à leur tête, / et, nous croyant des Grecs : " Amis, qui vous arrête ? / Déjà nos compagnons, au pillage animés, / emportent d'Ilion les débris enflammés, / et vous, de vos vaisseaux vous descendez à peine ! "
Le bord fuit : devant nous s'étend la mer profonde ; / tout à coup la tempête, apportant la terreur, / sur l'onde au loin répand sa ténébreuse horreur.
Caché dans son nuage, il hésite, il balance, / veut savoir leur destin, veut savoir en quels lieux / les ont jetés les vents, les ont conduits les dieux, / quel sort les a sauvés, ou bien sur quel rivage / ils ont laissé la flotte échappée au naufrage, / et quels pressants besoins, quels intérêts nouveaux, / à Carthage ont conduit les chefs de ses vaisseaux.
Quand Troie eut succombé, quand le fer et les feux / eurent détruit ses murs condamnés par les dieux, / et que, de ses grandeurs étonné de descendre, / le superbe Ilion fut caché sous la cendre, / innocents et proscrits, pour fixer nos destins, / il nous fallut chercher des rivages lointains. / Soumis aux lois du sort, aux oracles fidèle, / sous les hauteurs d'Antandre et du mont de Cybèle, / j'équipe des vaisseaux, incertain sur quel bord / vont nous guider les dieux, va nous jeter le sort.