Examples of using "Breast" in a sentence and their french translations:
soit « verrue de sein »,
un cancer du sein ou une maladie cardiaque.
- Elle a un cancer du sein.
- Elle est affectée d'un cancer du sein.
Je nourris mon bébé au sein.
Le cancer du sein est une maladie.
Mary est morte du cancer du sein.
on m'a diagnostiqué un cancer du sein.
avait été diagnostiquée d'un cancer du sein.
pour son traitement contre le cancer du sein.
Couvrez les blancs de poulet de farine.
Il ne boit pas assez de lait maternel.
1. Tranchez finement la poitrine de poulet.
J'aimerais allaiter mon enfant.
Dis-moi tes secrets sans en laisser une miette.
- Pratiquez-vous régulièrement l'auto-examen des seins ?
- Pratiques-tu régulièrement l'auto-examen des seins ?
Saviez-vous que les hommes pouvaient souffrir du cancer du sein ?
Par exemple, une patiente atteinte d'un cancer du sein
La musique adoucit les mœurs.
Le médecin a découvert une grosseur dans son sein.
le cancer de la prostate ou le cancer du sein.
Je voudrais passer un test pour le cancer du sein.
C'est vrai que tu as allaité tous tes enfants ?
J'allaite mon fils.
Après seulement un an, ses implants mammaires commencèrent à fuir et elle dût les faire retirer.
La joie, tous les êtres en boivent aux seins de la nature; tous les bons, tous les méchants, suivent sa trace de rose.
Pour son fils malheureux pleine d'un tendre effroi, / cette ville suspecte et ce peuple sans foi, / Junon surtout, Junon, qu'un fier courroux dévore, / tout l'alarme, et la nuit sa crainte veille encore.
Un facile succès couronne son message : / il parle, il adoucit la superbe Carthage, / de sua puissante reine apprivoise l'orgueil, / et les Troyens déjà sont sûrs d'un doux accueil.
Son esprit des humains roulait la destinée, / lorsque Vénus, sa fille, et la mère d'Énée, / gémissante, et de pleurs inondant ses beaux yeux :
" Mais bientôt d'un époux privé de sépulture / le spectre, s'élevant du sein de l'ombre obscure, / triste, pâle et sanglant, apparut à ses yeux, / dévoila de sa mort le mystère odieux, / et cette cour barbare, et l'autel homicide. "
Dans cette âme fidèle où vit encor Sichée, / le perfide, glissant une flamme cachée, / par degrés l'en efface ; et, par une autre ardeur, / d'un cœur longtemps paisible échauffe la froideur.
Telle, dans tout l'éclat de sa divinité, / quand Diane paraît, quand ses jeunes compagnes, / les nymphes des forêts, des vallons, des montagnes, / sur lhes hauteurs du Cynthe, au bord de l'Eurotas, / bondissant en cadence, accompagnent ses pas : / à la tête des chœurs, Diane, au milieu d'elles, / surpasse en majesté toutes ces immortelles : / jeune, le front paré de son croissant divin, / un carquois sur l'épaule, et son arc à la main, / elle marche ; sa grâce en marchant se déploie, / et le cœur de Latone en palpite de joie.
Il ne me répond rien. Puis, d'un ton plein d'effroi, / poussant un long soupir : " Fuis, dit-il, sauve-toi ; / sauve-toi, fils des dieux ; contre nous tout conspire : / il fut un Ilion, il fut un grand empire. / Tout espoir est perdu ; fuis : tes vaillantes mains / ont fait assez pour Troie, assez pour nos destins. / Notre règne est fini, notre heure est arrivée. "
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "
" Mais, vous, puis-je connaître / de quel sang vous sortez, quels lieux vous ont vu naître, / où s'adressent vos pas ? " Elle dit. Le héros, / poussant du fond du cœur de douloureux sanglots : / " O déesse ! dit-il, si du sort qui m'accable / j'essayais de conter l'histoire lamentable, / dans ce triste récit j'épuiserais le jour. "
Tel un affreux serpent, qui, nourri de poison, / sous la terre dormait dans la froide saison, / tout à coup reparaît, rayonnant de jeunesse, / s'étale avec orgueil, se roule, se redresse, / darde un triple aiguillon, et de son corps vermeil / allume les couleurs aux rayons du soleil.
" Elle-même, tonnant du milieu des nuages, / bouleversa les mers, déchaîna les orages, / dans un noir tourbillon saisit l'infortuné / qui vomissait des feux de son flanc sillonné, / et de son corps lancé sur des roches perçantes / attacha les lambeaux à leurs pointes sanglantes. "