Examples of using "Arme" in a sentence and their french translations:
- Pauvre chat.
- Pauvre chatte.
Pauvre de moi.
Pauvre pomme !
Pauvre Tom !
Pauvres gens !
Pauvre malheureux !
- Pauvre homme.
- Oh, le pauvre !
Pauvres enfants !
- Pauvre nigaud !
- Tête de nœud !
Pauvre fille.
Mon pauvre cœur souffre.
- C'était un musicien pauvre.
- C'était un pauvre musicien.
Marie est pauvre.
Oh, le pauvre !
La pauvre fille devint aveugle.
Mes parents viennent d'un milieu pauvre
Quel crevard !
Le pauvre jeune homme devint finalement un grand artiste.
Des activistes tentent de prévenir les maladies dans les pays pauvres.
La pauvre jeune fille avait à peine dix-huit ans.
- Il était une fois un pauvre homme et une femme riche.
- Il était une fois un pauvre homme et une riche femme.
Il était une fois un pauvre homme et une femme riche.
Il essayait d’aider les pauvres métayers d’Alabama
- Ce pauvre chat est presque mort de faim.
- Cette pauvre chatte est presque morte de faim.
- Il était une fois un pauvre homme et une femme riche.
- Il était une fois un pauvre homme et une riche femme.
Il était une fois un pauvre homme et une femme riche.
Les pauvres ne s'enrichissent pas quand les riches s'appauvrissent.
Ange et démon, vous l'avez connu, le pauvre ancien curé était plus tranquille.
Me voici pauvre fou maintenant et pas plus sage qu'auparavant.
Un pauvre n'est pas celui qui a trop peu, mais celui qui veut trop.
Ah ! comme les hommes sont polis et galants lorsqu'ils veulent obtenir quelque chose d'une pauvre femme !
Seulement lorsqu'il existera un pays où un pauvre mendiant peut devenir chef de l'État, pourrons-nous dire qu'il existe une vraie démocratie.
Pauvre Tom ! Il était amoureux fou au point d'avoir le nom de sa dernière petite amie tatoué sur son bras, et voilà que maintenant, plus aucune autre fille ne veut sortir avec lui.
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.