Examples of using "Adem" in a sentence and their french translations:
- Respirez.
- Respire.
- Respirez !
Inspirez, expirez.
- Respirez normalement.
- Respire normalement.
- Prends une profonde inspiration.
- Prenez une profonde inspiration.
Inspire.
Expire.
- Respirez.
- Respire.
- Respirez !
- Prenez une profonde respiration !
- Prenez une grande respiration !
Inspirez profondément
- Tu respires ?
- Tu es en vie ?
J'ai mauvaise haleine.
Je perds le souffle.
- Tom a haleté.
- Tom a eu le souffle coupé.
Il était essoufflé.
Inspirez profondément,
- Ne gaspille pas ta salive.
- Ne gaspillez pas votre salive.
J'étouffe!
Je reprends mon souffle,
Je devais respirer.
Veuillez retenir votre respiration.
Elle retint son souffle.
Tant que je respire, j'espère.
- Pourquoi es-tu à bout de souffle ?
- Pourquoi êtes-vous à bout de souffle ?
- Il s'essouffle vite.
- Il s'essouffle rapidement.
- Il est rapidement à bout de souffle.
Tom retint son souffle.
- Expirez lentement !
- Expire lentement !
Il a haleté.
Combien de temps peux-tu retenir ta respiration ?
On retient sa respiration plus longtemps.
- J'ai besoin d'une pause.
- J'ai besoin d'un répit.
Il rendit son dernier soupir.
Tu respires ?
- Avez-vous facilement le souffle court lorsque vous marchez ?
- As-tu facilement le souffle court lorsque tu marches ?
Je retins ma respiration et attendis.
Ta grammaire est meilleure que ton haleine !
Qui dort avec des chiens se réveille avec des puces.
Tant que je respire, j'espère.
pour remonter à la surface et respirer.
- Tu respires ?
- Tu es en vie ?
Il courait si vite qu'il était hors d'haleine.
et prenez conscience de la sensation de votre souffle
Je n'aime pas inhaler la fumée de quelqu'un pendant que je travaille.
Vous ne pouvez pas vous tuer en retenant votre souffle.
Il rendit son dernier soupir.
Il inspira profondément avant d'entrer dans le bureau de son patron.
- Il prit une profonde inspiration.
- Il a profondément respiré.
Nous attendons les résultats de l'expérience en retenant notre souffle.
L'eau peut descendre jusqu'à huit ou neuf degrés. Le froid vous coupe le souffle.
Naître avec le printemps, mourir avec les roses, sur l'aile du zéphyr nager dans un ciel pur, balancé sur le sein des fleurs à peine écloses, s'enivrer de parfums, de lumière et d'azur, secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes, s'envoler comme un souffle aux voûtes éternelles, voilà du papillon le destin enchanté ! Il ressemble au désir, qui jamais ne se pose, et sans se satisfaire, effleurant toute chose, retourne enfin au ciel chercher la volupté.