Examples of using "позволил" in a sentence and their french translations:
- Je ne vous laisserais jamais faire cela.
- Je ne te laisserais jamais faire ça.
Mon père m'a autorisé à aller au concert.
- Il me laisserait l'aider.
- Il me laissait l'aider.
- Je ne permettrais jamais cela.
- Je n'autoriserais jamais ça.
Je ne laisserais jamais cela se produire.
Tom ne voulait pas m'autoriser à l'aider.
Aujourd'hui, j'ai permis au soleil de se lever plus tôt que moi.
Il ne me permettrait pas de conduire sa voiture.
qui a permis à d'autres de réfléchir et débattre à propos de ce sujet.
Sweyn laisse la plupart de la flotte norvégienne passer sans encombre.
Tu l'as laissé mourir.
- Je vous ai laissée m'attraper.
- Je vous ai laissé m'attraper.
- Je vous ai laissés m'attraper.
- Je vous ai laissées m'attraper.
- Je t'ai laissée m'attraper.
- Je t'ai laissé m'attraper.
Son père ne lui a pas permis d'aller seule au ciné.
Le médecin ne me permettrait pas de prendre part au marathon.
- Il ne permettrait à personne de s'immiscer dans ses affaires personnelles.
- Il ne permettrait à personne de se mêler de ses affaires.
Je vous ai laissé m'attraper.
Mon père ne me laissa pas l'épouser.
Je n'aurais jamais autorisé cela.
- Qui vous a donné la permission de faire cela ?
- Qui t'a donné la permission de faire ça ?
Mon père ne me laissa pas l'épouser.
Il me laissa utiliser sa machine à écrire.
Je l'ai autorisé à passer la nuit chez moi.
Le propriétaire du restaurant l'autorisa à emmener les restes du repas chez elle pour nourrir tous ses chiens.
Je me suis permis de me servir dans le frigo, comme tu dormais encore. J'espère que ça va.
Son père ne lui a pas permis d'aller seule au ciné.
- Il ne permettait à personne de s'immiscer dans ses affaires personnelles.
- Il ne permettrait à personne de s'immiscer dans ses affaires personnelles.
- Il ne permettrait à personne de se mêler de ses affaires.
Mon père ne m'a pas permis de l'épouser.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.