Examples of using "Tuas" in a sentence and their french translations:
Voici tes lettres.
Tiens-toi bien !
- Où sont tes sœurs ?
- Où sont vos sœurs ?
- Où est votre preuve ?
- Où est ta preuve ?
- Ces choses sont-elles les vôtres ?
- Ces choses sont-elles les tiennes ?
- Ces choses sont-elles à vous ?
- Ces choses sont-elles à toi ?
Ton pantalon est trop serré.
- Lâchez-vous.
- Lâche-toi.
Jeanne a regardé tes fleurs.
Je n'ai pas besoin de traduire tes phrases.
Vos vacances d'été semblent stupides.
Tu me manques.
- Je ne sais pas répondre à tes questions.
- Je ne peux pas répondre à tes questions.
- Oubliez vos peines.
- Oublie tes chagrins.
Avec quel savon te laves-tu les mains ?
J'ai besoin de vos vêtements et de votre vélo.
- Laisse tomber tes armes !
- Laisse tomber les armes !
- Laissez tomber les armes !
- Laissez tomber vos armes !
- Jetez votre arme !
Où sont tes valises ?
- Sont-ce vos filles ?
- Sont-ce là vos filles ?
Lave-toi les mains.
- Je ne peux pas lire vos notes à cause de votre écriture.
- Je ne peux pas lire tes notes à cause de ton écriture.
Tes joues restent belles entre les pendeloques, et ton cou dans les colliers.
Je te prie de garder tes remarques cyniques pour toi-même.
J'ai une lettre de toi.
- Tes mains sont-elles propres ?
- Vos mains sont-elles propres ?
- As-tu les mains propres ?
Que tes joues s'empourprent et brillent et que resplendisse tout ton corps.
- Voyez-vous toujours vos amis dans ce café ?
- Tu vois toujours tes copains dans ce café ?
- Est-ce que tu vois toujours tes copines dans ce café ?
Tu nous as manqué.
Il me faut m'entretenir avec toi de tes notes.
- J'ai vu Tom prendre tes clés.
- J'ai vu Tom prendre vos clés.
- Tu tiens mon sort entre tes mains.
- Mon sort est entre tes mains.
- Mon sort est entre vos mains.
Jacob répondit, et dit à Laban : J’avais de la crainte à la pensée que tu m’enlèverais peut-être tes filles.
- On répondra à toutes tes questions.
- On répondra à toutes vos questions.
- Tu me manques.
- Vous me manquez.
Ne pleure jamais pour un homme car le seul qui mérite tes larmes ne te fera jamais pleurer.
- Si tu lui fais du mal, je te couperai les couilles.
- Si vous lui faites du mal, je vous couperai les couilles.
Ces vingt ans que j’ai été chez toi, tes brebis, ni tes chèvres n’ont avorté et les béliers de ton troupeau, je n’en ai point mangé. La bête mise en pièces, je ne te l’ai point rapportée ; c’est moi qui en souffrais le dommage, tu me la faisais payer, qu’elle eût été prise le jour, qu’elle eût été ravie la nuit.
Bienvenue de retour. Tu nous as manqué !
- Bienvenue de retour. Vous nous avez manqué !
- Bienvenue de retour. Tu nous as manqué !
J’ai passé ainsi vingt années dans ta maison ! Je t’ai servi quatorze ans pour tes deux filles et six ans pour ton menu bétail et tu as changé dix fois mon salaire.
Je peux être en désaccord avec vos propos, mais je vous écoute.
Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "
- Tu vas cruellement nous manquer.
- Vous nous manquerez terriblement.