Examples of using "Orgulho" in a sentence and their french translations:
- Je suis fier de ça.
- Je suis fière de cela.
Je suis fier d'être Canadien.
- Je n'en suis pas fier.
- Je n'en suis pas fière.
Je suis fière de mon père.
Il est fier de son fils.
Elle est fière de ses enfants.
- Question de fierté.
- C'est une question de fierté.
Je suis fier d'être Italien.
Je suis fier d'être Italien.
J'ai ma fierté.
Sa belle épouse est sa fierté.
Je suis toujours fier de ma famille.
Sa belle femme est sa fierté.
Elle peut être fière de sa fille.
Je suis fier de ce que je fais.
J'ai toujours été fier de vous.
J'ai toujours été fière de toi.
- Je suis fier de le tenir pour ami.
- Je suis fier de l'avoir pour ami.
Je suis très fier de mes parents.
J'ai fait des choses dont je ne suis pas fier.
Tom est très fier de son fils.
Papa est fier de sa voiture.
Il est fier d'être bon en mathématiques.
Que ce soit par crainte ou par fierté, il ne répondit pas.
Tu es ma fierté et ma joie.
- Les musées de New-York en sont sa gloire.
- Les musées sont la grande fierté de New York.
Mais au-delà de ça, j'éprouvais une grande fierté pour cet animal
«Les étudiants sont fiers de produire quelque chose», déclare Broadwater.
Elle est fière de sa fille.
Eh, j'ai peut-être pas d'argent, mais j'ai toujours ma fierté.
Il est fier de sa collection.
- Ce soir-là, il perdit non seulement sa femme mais aussi sa fierté.
- Ce soir-là, il a perdu non seulement sa femme, mais aussi sa fierté.
Je suis fier d'être enseignant.
- Je suis très fier de mes parents.
- Je suis très fière de mes parents.
La vanité et la fierté sont choses différentes, bien que ces mots soient souvent employés comme synonymes.
Elle est fière de son fils.
- Je suis très fier de ça.
- Je suis vraiment fière de cela.
Ce monde, ce théâtre et d'orgueil et d'erreur, est plein d'infortunés qui parlent de bonheur.
Devant le vestibule, aux portes du palais, / Pyrrhus, le cœur brûlant d'une audace guerrière, / de ses armes d'airain fait jaillir la lumière.
Je suis fier de toi.
Un bouclier d'Abas, devenu ma conquête, / du temple par mes mains a décoré le faîte ; / et je grave au-dessous du monument guerrier : ÉNÉE AUX GRECS VAINQUEURS RAVIT CE BOUCLIER.
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "