Examples of using "Dizia" in a sentence and their french translations:
et comme ma grand-mère aimait le répéter :
La pancarte disait : « Attention au chien ! »
Dans le cochon, tout est bon, disait Tom.
Tom a dit ça.
Tout ce qui était dit était triste.
- Si je le savais, je le dirais.
- Si je savais, je le dirais.
On disait qu'un grand poète avait vécu ici.
Il se dit que cette dame était actrice.
- Je croyais tout ce que vous disiez.
- Je croyais tout ce que tu disais.
En volant, j'ai vu une chaîne de montagnes à l'ouest,
tout ça se résume à une chose que ma grand-mère disait souvent :
Pépé vit un panneau pendu à la fontaine cassée qui disait :
Le roi de France Louis Quatorze avait l'habitude de dire que l'État, c'était lui.
Il a toujours dit ne pas avoir besoin d'aide, parce qu'il se considérait très habile.
Tom a dit qu'il était effrayé.
Elle m'a envoyé une carte postale qui disait qu'elle détestait l'odeur des animaux.
On disait dans le livre: "Les serpents avalent leur proie sans la mâcher; ensuite ils dorment".
Quand il disait : Les tachetés seront ton salaire, toutes les brebis faisaient des petits tachetés. Et quand il disait : Les rayés seront ton salaire, toutes les brebis faisaient des petits rayés.
Jason était un individu taciturne, c'était donc toujours une réelle surprise quand il disait quoique ce soit.
Mais, à cause de ses costumes turcs, les astronomes ne croyaient pas qu'il disait la vérité.
J'ai dit depuis le début qu'il n'était pas une personne digne de confiance, mais tu ne voulais rien entendre.
Les différences entre les histoires des deux parties impliquées dans l'accident étaient si grandes que les autorités ont eu du mal à décider qui disait la vérité.
Vanité des vanités, dit Qohélet ; vanité des vanités, tout est vanité.
Pythagore disait qu'il avait reçu en cadeau de Mercure la transmigration perpétuelle de son âme, de sorte qu'elle transmigrait et passait constamment dans toutes de sortes de plantes ou d'animaux.
Abraham tomba sur sa face et sourit ; et il dit en son cœur : Quoi ? Un centenaire engendrerait encore ? Et à quatre-vingt-dix ans, Sara deviendrait mère ?
Ainsi dans son refus il demeure obstiné ; / vainement de nos pleurs il est environné ; / vainement mon épouse, et mon fils, et moi-même, / le conjurons, pour lui, pour ses enfants qu'il aime, / de ne pas achever de déchirer nos cœurs, / et de n'aggraver pas le poids de nos malheurs.
Bernard de Chartres avait l'habitude de dire que nous sommes comme des nains sur les épaules de géants, de telle manière que nous pouvons voir davantage qu'eux, et des choses à plus grande distance, non pas en vertu d'une quelconque acuité visuelle de notre part, ou une quelconque particularité physique, mais parce que nous sommes portés haut et soulevés par leur taille géante.
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "