Examples of using "Deixam" in a sentence and their french translations:
Les rousses me rendent dingue !
S'ils laissent des traces chimiques lors du transport
Les politiciens italiens me rendent furieux.
Ils ne me permettent pas d'aller en boîte.
Laissez-vous vos enfants boire du café ?
- Ils ne nous permettent pas d'aller à la discothèque.
- Ils ne nous autorisent pas à aller en boîte.
- Ils ne nous permettent pas d'aller en discothèque.
au fil du temps, les excavations produisent ces énormes trous.
Plus vous commentez les gars partent sur mes vidéos,
Sans lumière du soleil, les algues ne produisent plus d'oxygène.
Le soleil ne leur permet plus de produire de nourriture.
mais ils y laissaient encore des fourmis mortes
Après un moment, les fourmis quittent le nid
On ne laisse entrer personne sans permission spéciale.
qui font votre produit avoir l'air cool et chic,
- Et ils font juste le articles plus longs et plus longs.
Je veux passer davantage de temps à faire des choses qui me rendent vraiment heureuse.
Beaucoup des virus qui nous rendent malades proviennent des animaux.
Les fleurs la réjouissent.
Mes lentilles de contact assèchent mes yeux, devrais-je utiliser des gouttes ?
Pourquoi ne me lâches-tu pas ?
Le visage des femmes est souvent plus beau, quand elles retirent leurs vêtements, car elles ne pensent alors plus du tout à leur apparence extérieure.
Le visage des femmes est souvent plus beau, quand elles retirent leurs vêtements, car elles ne pensent alors plus du tout à leur apparence extérieure.
Mais leur plume défend ces oiseaux de la mer : / leur troupe, impénétrable aux atteintes du fer, / part, et laisse, en fuyant dans sa retraite obscure, / les mets demi-rongés, et son odeur impure.
L'officier prussien désire coucher avec Boule de Suif, mais elle refuse d'avoir des rapports avec lui, et les gens qui sont avec elle l'en empêchent.
Pendant la nuit, tandis qu'ils étaient ensevelis dans le sommeil, les Grecs partent de Ténédos, débarquent leurs troupes, et pénètrent dans la ville par la brèche que l'entrée du cheval avait occasionnée.
Sur son char aussitôt la brillante déesse / revole vers Paphos, lieux charmants où sans cesse / l'encens le plus parfait, les plus nouvelles fleurs / embaument cent autels de leurs douces odeurs.
Il voit flotter épars les débris d'Ilion, / en devine la cause, et reconnaît Junon.
Déjà d'Ilionée et du vaillant Abas / l'eau brise le tillac, le vent courbe les mâts ; / déjà du vieil Alète et du fidèle Achate / le vaisseau fatigué s'ouvre, se brise, éclate ; / et les torrents vainqueurs entrent de tous côtés.