Translation of "Paternels" in Portuguese

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Examples of using "Paternels" in a sentence and their portuguese translations:

" Dieux paternels ! dit-il, c'en est fait, je me rends ; / protégez ma famille, et sauvez mes enfants ! / J'accepte avec transport ce présage céleste. / Dieux puissants ! d'Ilion vous sauverez le reste. / Viens, mon fils, je te suis. "

“Pátrios numes, afinal, / aceito a indicação do vosso augúrio; / nada mais me detém, parto em seguida. / Protegei-me a família, o neto protegei-me; / Troia conta com vossa potestade. / Agora, filho, não me nego a te seguir; / de bom grado serei teu companheiro.”

Mille doux souvenirs parcourent ce rivage : / de leurs murs paternels reconnaissant l'image, / les Troyens de ces lieux jouissent comme moi, / et leur concitoyen les recevait en roi. / Au milieu de sa cour, sous de vastes portiques, / un grand festin chargeait des tables magnifiques : / ils célébraient Bacchus ; et, dans des coupes d'or, / le dieu de son nectar leur versait le trésor.

Nesta cidade amiga e hospitaleira, / sentem-se em casa todos os troianos. / Fidalga recepção foi-nos oferecida / nos amplos pátios do real palácio / e em seu salão central; em taças de ouro / serviu-se farto vinho para os brindes / e, em baixelas de prata, as iguarias.

L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.

Logo que chega a primavera, Anquises manda / largar as velas aos caprichos do destino. / Então com lágrimas nos olhos vou deixando / o porto, o pátrio litoral, toda a planície / onde um dia foi Troia. Ao mar me entrego, / qual exilado, com meu filho, os companheiros, / nossos penates, nossos grandes deuses.

Tout bénit d'Actium la terre inattendue : / on dresse des autels ; on offre au roi des dieux / des expiations, de l'encens et des vœux ; / on s'applaudit d'avoir, comme une terre amie, / franchi de nos vainqueurs la contrée ennemie. / Enfin de nos lutteurs l'essaim est assemblé ; / sur leurs corps demi-nus des flots d'huile on coulée : / à ces jeux paternels nous volons avec joie, / et notre cœur palpite au souvenir de Troie.

Ganhando assim aquele asilo inesperado, / purificamo-nos primeiro para o culto / a Júpiter; depois de queimar nos altares / oferendas e incenso, promovemos / nas margens de Áccio, em honra a Apolo, os jogos / ilíacos. Com corpos nus untados, / como em Troia, às disputas e combates / acorrem moços, jubilosos por havermos / deixado para trás tantas cidades gregas, / passando a salvo por domínios inimigos.