Translation of "Contrée" in Portuguese

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Examples of using "Contrée" in a sentence and their portuguese translations:

Vénus, déguisée en chasseresse, se présente à Énée, qui, à son arrivée en Afrique, s’était avancé dans les terres avec Achate, pour découvrir le pays ; elle lui apprend dans quelle contrée il est, et elle lui raconte l’histoire de Didon nouvellement arrivée de Tyr, et occupée à bâtir la ville de Carthage.

Disfarçada de caçadora, Vênus aparece a Eneias, que, ao chegar à África, havia feito algumas incursões para explorar a região; ela lhe informa em que país ele se encontra, e lhe conta a história de Dido, recém-chegada de Tiro e que se dedica à construção da cidade de Cartago.

Au moment où il se prépare à faire un sacrifice au dieu de la Thrace, et que pour parer l'autel il arrache quelques arbrisseaux, il entend une voix plaintive : c'est celle de Polydore qui avait été inhumé en cet endroit, et qui l'avertit de s'éloigner d'une contrée où règnent le parjure et la soif des richesses.

No momento em que se prepara para fazer um sacrifício ao deus da Trácia, e para adornar o altar arranca alguns arbustos, ele ouve uma voz queixosa: é a de Polidoro, que tinha sido enterrado naquele lugar e que o aconselha a se afastar de uma região onde imperavam o perjúrio e a sede de riquezas.

Tout bénit d'Actium la terre inattendue : / on dresse des autels ; on offre au roi des dieux / des expiations, de l'encens et des vœux ; / on s'applaudit d'avoir, comme une terre amie, / franchi de nos vainqueurs la contrée ennemie. / Enfin de nos lutteurs l'essaim est assemblé ; / sur leurs corps demi-nus des flots d'huile on coulée : / à ces jeux paternels nous volons avec joie, / et notre cœur palpite au souvenir de Troie.

Ganhando assim aquele asilo inesperado, / purificamo-nos primeiro para o culto / a Júpiter; depois de queimar nos altares / oferendas e incenso, promovemos / nas margens de Áccio, em honra a Apolo, os jogos / ilíacos. Com corpos nus untados, / como em Troia, às disputas e combates / acorrem moços, jubilosos por havermos / deixado para trás tantas cidades gregas, / passando a salvo por domínios inimigos.

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”