Translation of "«l'épouse" in Portuguese

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Examples of using "«l'épouse" in a sentence and their portuguese translations:

L'épouse de Fatih Portakal

Esposa de Fatih Portakal

Elle est l'épouse d'Alain.

- Ela é a esposa de Alain.
- Ela é a mulher de Alain.

Une femme l'aime et l'épouse, bien que son père ne veuille pas

uma mulher a ama e casa com ela, embora seu pai não queira

" Crois-moi : d'un fier vainqueur les superbes demeures / ne verront point servir le sang de Dardanus, / l'épouse d'un héros, et le bru de Vénus. "

"As mansões orgulhosas não verei / dos mirmidões, dos dólopes; descendo / de Dárdano e sou nora de uma deusa: / não vou servir na escravidão às damas gregas."

" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "

"Ah, quanto a ti, que sorte / te coube após perder tão nobre esposo? / Será que te sorriu fortuna à altura / da Andrômaca de Heitor, ou inda estás com Pirro?”

" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "

"Enquanto eu, que dos deuses sou rainha, / que, além de ser de Júpiter irmã, / esposa sou também, contra um só povo / vejo-me a fazer guerra há tantos anos! / Depois disto quem pode haver disposto / a venerar de Juno a divindade, / ou com preces depor em seus altares / uma oferenda, um digno sacrifício?”

Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.

Num bosque à entrada da cidade, à margem / de um novo Xanto, Andrômaca ofertava / funéreos dons, solenes iguarias, / às cinzas do finado esposo e lhe evocava / os manes junto ao túmulo vazio, / de verde relva, e aos dois altares consagrados / aos seus pranteados Astianaz e Heitor.

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”