Translation of "Uprose" in French

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Examples of using "Uprose" in a sentence and their french translations:

The citizens uprose against the dictatorship.

Les citoyens se sont soulevés contre la dictature.

Uprose the image of my father dear, / as there I see the monarch, bathed in blood, / like him in prowess and in age his peer. / Uprose Creusa, desolate and drear, / Iulus' peril, and a plundered home.

Ce grand prince, au milieu de ses fils moissonnés, / terminant sous le fer ses jours infortunés, / d'un père, comme lui, déjà glacé par l'âge / tout à coup réveilla l'attendrissante image : / de mon épouse en pleurs, de mon malheureux fils, / mon amour consterné croit entendre les cris.

When straight, down-swooping from the hills meanwhile / the Harpies flap their clanging wings, and tear / the food, and all with filthy touch defile, / and, mixt with screams, uprose a sickening stench and vile.

Mais des monstres ailés la troupe redoutable / soudain d'un vol bruyant s'abat sur notre table, / fond sur nos aliments dans sa vorace ardeur, / souille tout, remplit tout de son infecte odeur, / et mêle un crit sinistre à son toucher immonde.

"Spare, O AEneas, spare a wretch, nor shame / thy guiltless hands, but let the dead repose. / From Troy, no alien to thy race, I came. / O, fly this greedy shore, these cruel foes! / Not from the tree – from Polydorus flows / this blood, for I am Polydorus. Here / an iron crop o'erwhelmed me, and uprose / bristling with pointed javelins."

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "