Translation of "Repose" in French

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Examples of using "Repose" in a sentence and their french translations:

"I drink," he said, "to the buried that repose around us." "And I to your long life."

« Je lève mon verre, dit-il, aux morts qui reposent autour de nous. » « Et moi à votre longue vie. »

She o'er Ascanius rains a soft repose, / and gently bears him to Idalia's height, / where breathing marjoram around him throws / sweet shade, and odorous flowers his slumbering limbs compose.

Vénus sourit, et cueillant des pavots / verse à son cher Ascagne un paisible repos, / le berce dans ses bras, l'enlève, et le dépose / sur la verte Idalie, où le myrte, où la rose / d'une haleine odorante exhalant les vapeurs, / l'environnent d'ombrage et le couvrent de fleurs.

"First must Trinacrian waters bend the oar, / Ausonian waves thy vessels must explore, / first must thou view the nether world, where flows / dark Styx, and visit that AEaean shore, / the home of Circe, ere, at rest from woes, / thou build the promised walls, and win the wished repose."

" La Sicile verra de tes nefs vagabondes / la rame opiniâtre importuner ses ondes. / Du redoutable Averne il faut domter les flots, / de la mer d'Ausonie il faut fendre les eaux, / de l'île de Circé braver l'onde infidèle, / avant de reposer dans ta cité nouvelle. "

"Spare, O AEneas, spare a wretch, nor shame / thy guiltless hands, but let the dead repose. / From Troy, no alien to thy race, I came. / O, fly this greedy shore, these cruel foes! / Not from the tree – from Polydorus flows / this blood, for I am Polydorus. Here / an iron crop o'erwhelmed me, and uprose / bristling with pointed javelins."

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "