Examples of using "Cries" in a sentence and their french translations:
* Cris d'oiseaux *
Il pleure.
* Les oiseaux pleurent * à la
Le cygne hurle.
Ma sœur pleure souvent.
Mon frère pleure souvent.
♫ Se font cris de géant ♫
Plus de cris, c'est l'instant ! Plus de cris, c'est l'instant !
- Elle pleure constamment.
- Elle pleure tout le temps.
Il pleure presque chaque jour.
- Elle pleure toujours lorsqu'il est saoul.
- Elle pleure toujours lorsqu'il est ivre.
L'enfant pleure au lieu de rire.
Tom pleure souvent quand il est ivre.
Je me demande si Tom pleure jamais.
Vous pouvez être un homme qui pleure.
Il pleure toujours lorsqu'il est saoul.
- Elle pleure toujours lorsqu'il est saoul.
- Elle pleure toujours lorsqu'il est ivre.
Mon bébé ne peut pas encore parler; il ne fait que crier.
Tom pleure chaque fois qu'il entend cette chanson.
- Elle pleure constamment.
- Elle pleure tout le temps
Le monde aurait-il jamais entendu les appels des manifestants ?
Marie est réveillée par les cris de son enfant.
Le faisan ne serait pas tué sans ses cris.
Pourquoi t'as besoin d'un bébé ? Tout ce qu'il fait, c'est manger, chier, vomir et pleurer.
Corèbe triomphant, que le succès enivre : " Amis, le ciel sourit à ce premier effort, / marchons dans le sentier que nous montre le sort : / que ce triomphe heureux nous en assure d'autres. "
" Les voilà, dit Anchise ; oui, Troyens, les voilà, / ces gouffres de Carybde, et ces rocs de Scylla ! / Aux rames, mes amis ! fuyons ces bords horribles / qu'annonçaient d'Hélénus les oracles terribles ! "
Dès qu'elle voit Priam vainement furieux, / moins couvert qu'accablé d'une armure inutile : / " Quelle aveugle fureur, quel courage stérile ! / lui crie Hécube en pleurs. Où courez-vous ? Hélas ! "
" – Eh bien, cours aux enfers conter ce que tu vois ; / dis au fils de Thétis que son sang dégénère. "
La première elle approche : " Une de mes compagnes, / leur dit-elle, avec moi parcourait ces campagnes. / Je ne vois plus ses pas, je n'entends plus sa voix. / Sur une peau de lynx elle porte un carquois ; / peut-être en ce moment, par sa vive poursuite, / d'un sanglier fougueux elle presse la fuite. / Si le hasard l'a fait apparaître à vos yeux, / ô jeunes voyageurs, dites-moi dans quels lieux / je puis la retrouver. "
" Calchas veut qu'aussitôt la voile se déploie : / tous nos traits impuissants s'émousseront sur Troie, / si, dans les murs d'Argos revolant sur les eaux, / les Grecs ne vont chercher des augures nouveaux. "
" Thymète le premier, soit lâche trahison, / soit qu'ainsi l'ordonnât le destin d'Ilion, / des Grecs favorisant la perfide entreprise, / dans nos murs aussitôt prétend que l'on l'introduise. "
Anchise lève aux cieux ses vénérables mains : " Dieux ! ô dieux ! écartez ces fléaux inhumains ! / Venez à moi, dit-il, déités que j'encense ! / Secourez le malheur, secourez l'innocence ! "
" Au milieu des terreurs dont notre ame est troublée, / le roi d'Ithaque, aux yeux de la Grèce assemblée, / traîne à grand bruit Calchas; et ses cris odieux / le pressent de nommer la victime des dieux. / Déjà, lisant de loin dans son ame cruelle, / mes amis annonçaient ma sentence mortelle. "
À ce sinistre aspect Anchise s'épouvante, / et s'écrie aussitôt d'une voix gémissante : " O notre unique asile ! ô bords hospitaliers ! / Pourquoi nous offrez-vous ces animaux guerriers ? / Les coursiers des combats sont l'effrayant présage ; / ils sont nés pour la guerre, on les dresse au carnage. / Mais ces mêmes coursiers, domptés par les humains, / traînent d'accord un char, se soumettent aux freins. / J'espère encor la paix. "
Lui, dégouttant de sang, souillé de noirs poisons, / qui du bandeau sacré profanent les festons, / raidissant ses deux bras contre ces nœuds terribles, / exhale sa douleur en hurlements horribles.
Dans l'ombre de la nuit, un célèbre guerrier, / Androgée, à nos coups vient s'offrir le premier. / Un corps nombreux le suit, il s'avance à leur tête, / et, nous croyant des Grecs : " Amis, qui vous arrête ? / Déjà nos compagnons, au pillage animés, / emportent d'Ilion les débris enflammés, / et vous, de vos vaisseaux vous descendez à peine ! "
" Dieux paternels ! dit-il, c'en est fait, je me rends ; / protégez ma famille, et sauvez mes enfants ! / J'accepte avec transport ce présage céleste. / Dieux puissants ! d'Ilion vous sauverez le reste. / Viens, mon fils, je te suis. "
Enfin nous échappons de cette ville en cendre. / Nous nous croyions sauvés, lorsque je crois entendre / d'un bataillon nombreux les pas précipités ; / et, dans l'ombre jetant ses yeux épouvantés, / " Fuis, cours, fuis ! je les vois, je vois briller leurs armes ! " dit mon père.
Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "
" Le peuple partagé s'échauffe en longs débats, / quand, de la citadelle arrivant à grands pas, / Laocoon, qu'entoure une foule nombreuse, / de loin s'écrie: 'O Troie ! ô ville malheureuse ! / citoyens insensés, dit-il, que faites-vous ? / Croyez-vous qu'en effet les Grecs soient loin de nous, / que même leurs présents soient exempts d'artifice ? / Ignorez-vous leur fourbe ? Ignorez-vous Ulysse ? ' "
Caché dans son nuage, il hésite, il balance, / veut savoir leur destin, veut savoir en quels lieux / les ont jetés les vents, les ont conduits les dieux, / quel sort les a sauvés, ou bien sur quel rivage / ils ont laissé la flotte échappée au naufrage, / et quels pressants besoins, quels intérêts nouveaux, / à Carthage ont conduit les chefs de ses vaisseaux.
" Cependant vers le roi quelques bergers troyens / traînent un inconnu tout chargé de liens, / qui, pour servir des Grecs le fatal stratagème, / exprès entre leurs mains s'était jeté lui-mème ; / jeune, hardi, tout prèt à l'un ou l'autre sort, / à tromper les Troyens, ou recevoir la mort. "
Ainsi Créuse en pleurs, exhalant ses alarmes, / remplit l'air de ses cris, me baigne de ses larmes, / lorsqu'un soudain prodige épouvante nos cœurs : / aux yeux et dans les bras de ses parents en pleurs, / sur la tête d'Ascagne une flamme rayonne, / tourne autour de son front en brillante couronne, / et, d'un léger éclair l'effleurant mollement, / autour de ses cheveux se joue innocemment.
Énée, à cet aspect, frissonne d'épouvante. / Levant au ciel ses yeux et sa voix suppliante : / " Heureux, trois fois heureux, ô vous qui, sous nos tours, / aux yeux de vos parents, terminâtes vos jours ! "
Le rapide Zéphire, et les fiers aquilons, / et les vents de l'Afrique, en naufrages féconds, / tous bouleversent l'onde, et des mers turbulentes / roulent les vastes flots sur leurs rives tremblantes. / On entend des nochers les tristes hurlements, / et des cables froissés les affreux sifflements.