Translation of "árabes" in French

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Examples of using "árabes" in a sentence and their french translations:

Somos árabes.

Nous sommes arabes.

Imagina ciudades árabes

Imaginez des villes arabes

Nosotros somos árabes.

Nous sommes arabes.

Algunos árabes son cristianos.

Quelques Arabes sont chrétiens.

Esto fue una pena en los árabes

Ce fut une honte chez les Arabes

Japón depende de los países árabes para el petróleo.

- Le Japon se tourne vers les pays arabes pour le pétrole.
- Le Japon dépend des pays arabes pour son pétrole.

Los Soviéticos se retiran en 1989 y los combatientes árabes vuelven a casa.

Les Soviétiques se retirèrent en 1989 et les combattants Arabes retournèrent chez eux.

En la mayor parte de los países, exceptuando los países árabes e Israel, los sábados y los domingos se definen como el fin de semana.

Dans la plupart des pays, à part les pays arabes et Israël, le samedi et le dimanche sont définis comme la fin de la semaine.

Muchas personas que afirman ser hablantes nativos de árabe son en realidad hablantes de dialectos árabes, que a veces tienen muy poco que ver con el árabe.

Beaucoup des gens qui déclarent être des locuteurs natifs de l'arabe, sont en fait locuteurs de variantes dialectales de l'arabe, qui ont parfois très peu à voir avec l'arabe.

Con el desarrollo de los intercambios comerciales entre Oriente y Occidente, un número creciente de mercaderes árabes y persas comenzó a dirigirse a China siguiendo la Ruta de la Seda.

Avec le développement des échanges commerciaux et culturels entre l'Est et l'Ouest, un nombre croissant de marchands arabes et persans commencèrent à se rendre en Chine en empruntant la route de la Soie.

Es sorprendente atestiguar que los iraníes, sobre quienes los árabes impusieron el Islam a través de la derrota militar, se han convertido en sus seguidores más fervientes, hasta el punto de oprimir a aquellos del zoroastrismo, a pesar de ser la religión de sus propios padres. Es una especie de síndrome de Estocolmo a escala nacional.

Il est étonnant de constater que les Iraniens, auxquels les Arabes ont imposé l'Islam en les battant militairement, sont devenus ses plus zélés adeptes au point d'opprimer ceux du Zoroastrisme, qui est pourtant la religion de leurs propres pères. Une sorte de syndrome de Stockholm à l'échelle nationale.