Examples of using "Толстая" in a sentence and their french translations:
Suis-je grosse ?
Quel gros livre !
Elle n'est pas grosse.
Je ne suis pas grosse !
Je suis trop grosse.
Je ne suis pas gros.
- Je suis gras.
- Je suis gros.
Elle est petite et grosse.
Votre chien est très gros.
La dame obèse tenait un singe dans ses mains.
Le livre est épais mais pas cher.
C'est vrai que je ne suis pas grosse ?
- Suis-je gros ?
- Suis-je grosse ?
Ce livre est très épais.
Ton chien est très gros.
Le livre est gros.
Ce chien est trop gros.
Devant la maison de la tante un gros chien dort.
- Penses-tu que je suis gros ?
- Pensez-vous que je suis grosse ?
- Penses-tu que je suis grosse ?
- Pensez-vous que je suis gros ?
Je suis très gros.
Mon oncle est mince, mais ma tante est grosse.
- Penses-tu que je suis grosse ?
- Pensez-vous que je suis gros ?
- Tu n'es pas gros.
- Vous n'êtes pas gros.
- Vous n'êtes pas grosse.
- Vous n'êtes pas grosses.
- Tu n'es pas grosse.
Quel gros livre !
Tom a dit à Mary qu'elle était grosse.
Je ne suis pas gros !
Elle est vieille, laide et grosse.
La ficelle est trop grosse.
Tom a dit à Mary qu'elle est grosse et laide.
Vous êtes suffisamment gros comme ça.
- Je suis si gros.
- Je suis tellement gros.
- Je suis tellement grosse.
Le mur qui sépare les criminels des non-criminels n'est pas aussi épais qu'on le pense.
Tu es un peu gras.
Un livre est fin et l'autre est épais. Celui qui est épais fait environ 200 pages.
J'étais gros.
Ton chien est très gros.
Tu as l'air grosse dans ce pantalon.
Ma mère m'a dit que j'étais gros.
Quand tu as dit à Nancy qu'elle était si grosse, tu as vraiment frappé là où ça fait mal.
- Je pense avoir l'air grosse, dans ce jean.
- Je pense avoir l'air gros, dans ce jean.
- Je pense que j'ai l'air grosse, dans ce jean.
- Je pense que j'ai l'air gros, dans ce jean.
Ma mère m'a dit que j'étais gras.
« Où est le perroquet que nous t'avons envoyé ? » « Quel perroquet ? Ah, ce gros oiseau vert ? Je l'ai fait rôtir pour le déjeuner. » « Rôtir ? Es-tu fou ? C'était un oiseau qui pouvait parler ! » « Ah bon ? Pourquoi n'a-t-il donc rien dit ? »