Examples of using "Lar" in a sentence and their french translations:
Je suis sans domicile.
objets d'envie pour ceux qui sont à la maison.
- Il n'y a rien de comparable à sa maison.
- Rien ne vaut son chez-soi.
- Je suis sans domicile.
- Je n'ai pas de maison.
- Je suis dénué de toit.
On y trouve d'immenses falaises,
Chaque nuit, elles patrouillent dans leur secteur,
Il n'y a rien de tel que son chez-soi.
- Son chez-soi est l'endroit où on ne doit pas porter de soutien-gorge.
- On est chez soi là où on ne porte pas de soutien-gorge.
C'est à Lembeh qu'on trouve la plus grande spécialiste de l'embuscade.
- Un foyer est plus qu'un simple bâtiment.
- Un chez soi est davantage qu'une simple construction.
Chacun a besoin d'un endroit qu'il nomme son chez soi.
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Premièrement, la Chine compte 1,4 milliard d'habitants.
s'appellent favelas, la maison à la fois des gangs de la drogue vicieux, ainsi que certains
Bienvenue à la maison.
Le foyer des oiseaux est dans la forêt, le foyer des poissons est dans la rivière, le foyer des abeilles est dans les fleurs, et celui des petits enfants est en Chine. Nous aimons notre mère patrie depuis notre enfance, comme les oiseaux aiment la forêt, les poissons aiment la rivière, et les abeilles aiment les fleurs.
Oh, dites-moi, est-ce que la bannière étoilée flotte encore sur la terre de la liberté et la patrie des braves ?
Bienvenue dans ta nouvelle maison!
Cette petite île de Mossel Bay, en Afrique du Sud, abrite 4 000 otaries à fourrure du Cap.
Le Brésil a importé 11 fois plus d’esclaves que les États-Unis et Rio était seul à la maison
" Fuis ; calme un vain courroux : fuis, c'en est fait. Ta mère / va protéger tes pas, et te rendre à ton père. "
Bienvenue dans notre maison.
" Mais Oreste en fureur, qu'incessamment tourmente / le fouet de Némésis, le regret d'une amante, / jette aux pieds de l'autel son rival égorgé, / et ce rapt criminel par un crime est vengé. "
Je restais seul... Des feux les lugubres clartés / guidaient mes pas tremblants et ma vue incertaine, / lorsqu'aux pieds de Vesta je vois l'affreuse Hélène.
J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.
Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts, / son antique palais forcé de toutes parts, / l'ennemi sous ses yeux, d'une armure impuissante / ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, / prend un glaive à son bras dès longtemps étranger, / et s'apprête à mourir plutôt qu'à se venger.
" Cher et cruel époux ! si tu cours au trépas, / me dit-elle, à la mort traîne-nous sur tes pas ! / Si ton dernier effort peut être encore utile, / ah ! commence du moins par sauver cet asile. / Que deviendront un père, un enfant précieux, / et ton épouse, hélas ! jadis chère à tes yeux ? "