Examples of using "Adja" in a sentence and their french translations:
Donnez-le-moi.
- Donnez-le-moi, s'il vous plait.
- Donnez-moi cela, je vous prie.
Donne-les-lui.
Donne le mot de passe.
Elle n'abandonnera pas facilement.
Ajoutez la viande.
Rendez-moi mon argent !
Donnez-moi la clé.
Veuillez saisir votre code secret.
Donnez l'argent à mon fils.
Passez-moi le sel, s'il vous plaît.
Donnez-vous votre accord pour l'opération ?
Tom achète et vend des voitures.
- Ne dévoilez jamais votre mot de passe à quiconque !
- Ne dévoile jamais ton mot de passe à quiconque !
Donne-moi ton adresse et ton numéro de téléphone.
J'ai persuadé ma mère de me prêter sa voiture.
Donne-moi ton argent.
Rends-moi mon sac.
Donne-moi la clé de cette serrure !
Faites de votre mieux et ne vous en faites pas.
Une partie de la réponse vient de notre psychologie cognitive.
J'ai demandé au garçon de me renvoyer le ballon.
Rends-moi mon argent !
S'il vous plait, remplissez ce formulaire avec votre nom et votre adresse.
Dieu fournit le vent, mais l'homme doit hisser les voiles.
Donne-moi ton numéro de téléphone.
La police demanda que le criminel leur remette le pistolet.
Elle dit aux autres parties du cerveau de se taire.
- Ça coûte combien ?
- Combien ça coûte ?
- Combien est-ce que ça coûte ?
La hausse des prix de l'immobilier lui a permis de vendre sa maison en faisant un gros profit.
Vous n'abandonnez pas tellement facilement, n'est-ce pas ?
- Souvent le sort envoie, ce que l'on n'attend pas.
- Le sort nous destine souvent ce qu'on n'attend pas.
- Le destin est bien souvent imprévisible.
- Le sort nous envoie souvent ce à quoi on ne s'attend pas.
- Remets les armes !
- Remettez les armes !
- Remettez vos armes !
- Remets tes armes !
- Combien coûte ce parapluie ?
- Quel est le prix de ce parapluie ?
Donne ton numéro de passeport et ta date de naissance.
Au cas où elle devrait rentrer trop tard, remets-lui ce message.
Quand deux armées s'affrontent, ceux qui peuvent se battre doivent se battre, ceux qui ne peuvent pas se battre doivent protéger, ceux qui ne peuvent pas protéger doivent fuir, ceux qui ne peuvent pas fuir doivent se rendre, et ceux qui ne peuvent pas se rendre doivent mourir.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.