Translation of "Voyageur" in Portuguese

0.003 sec.

Examples of using "Voyageur" in a sentence and their portuguese translations:

Le train n'attend pas le voyageur.

O trem não espera o viajante.

Je voudrais encaisser un chèque voyageur.

Eu gostaria de descontar um cheque de viagem.

Je ne suis pas un grand voyageur.

Eu não sou muito de viajar.

Le voyageur du temps consacra son attention au déjeuner et montra un appétit de clochard.

O Viajante do Tempo punha toda a atenção em seu jantar, e exibia o apetite de um mendigo.

Une langue est un vaste pays et les possibilités qu'elle offre à un voyageur sont aussi vastes qu'abondantes.

Uma língua é um país vasto e as possibilidades que oferece a um viajante são tão amplas quanto abundantes.

- Les absents ont toujours tort.
- Celui qui est là est bien là mais le doute pèse sur le voyageur.

Os ausentes estão sempre errados.

Et, tel qu'un voyageur / qui sur un long serpent roulé dans son asile / appuie un pied pesant, soudain d'un saut agile / fuit le reptile affreux, qui, de terre élancé, s'allonge, et marche à lui fièrement courroucé : / tel ce Grec devant nous recule d'épouvante.

Qual aquele / que, incauto, entre silvados espinhosos, / numa serpente pisa e trêmulo se afasta / do réptil, que, assanhado, ergue a cabeça / e incha o pescoço peçonhento; bem assim, / horrorizado por nos ver, recua Andrógeos.

Tous les deux, s’avançant dans ces tristes royaumes Habités par le vide et peuplés de fantômes, Marchoient à la lueur du crépuscule obscur, Tel, lorsqu’un voile épais des cieux cache l’azur, Au jour pâle et douteux de leur lumière avare, Dans le fond des forêts le voyageur s’égare.

Na caligem da noite solitária ambos seguiam pelo reino de Plutão, amplo solar das sombras incorpóreas, qual viajores que, ao luar fraco e inconstante, o bosque trilham quando Júpiter com nuvens esconde o céu e a treva ao mundo rouba as cores.

Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "

Aprestar os navios manda Anquises, / para largar enquanto o vento é favorável. / Respeitoso, dirige-lhe a palavra / o intérprete de Apolo: “Anquises, tu que foste / considerado digno da sublime / união com Vênus, ó mortal aos deuses caro, / que foste salvo de ambos os excídios / de Pérgamo, eis da Ausônia a terra é teu solar; / solta as velas e vai a ela aportar. / Mas é preciso que navegues para além / da costa próxima, porque da Ausônia a parte / que te franqueia Apolo, fica do outro lado. / Parte, ó pai venturoso, que contigo / levas o amor e a devoção do nobre filho. / E é só, não devo retardar-te com discursos, / quando os austros começam a soprar.”