Translation of "Commencèrent" in Portuguese

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Examples of using "Commencèrent" in a sentence and their portuguese translations:

Ils commencèrent à grimper sur la colline.

Eles começaram a escalar a colina.

Ils s'accouplèrent tous et commencèrent à danser.

Todos procuraram seus pares e começaram a dançar.

Les savants commencèrent à trouver les réponses à ces questions.

Cientistas começaram a encontrar respostas para essas perguntas.

Et ils commencèrent à tous acheter les petits papiers de Pépé.

E todos começaram a comprar os papeizinhos do Pepe.

- Les chiens ont commencé à aboyer.
- Les chiens commencèrent à aboyer.

Os cachorros começaram a latir.

Après onze heures les invités commencèrent à se retirer par groupes de deux ou trois.

Depois das 11 horas, os convidados começaram a partir em grupos de duas ou três pessoas.

Après seulement un an, ses implants mammaires commencèrent à fuir et elle dût les faire retirer.

Depois de apenas um ano, seus implantes mamários começaram a vazar, e ela teve de removê-los.

Les boissons et la nourriture étaient servies avec une telle profusion au mariage que les jeunes mariés commencèrent à se demander s'ils n'auraient pas dû inviter plus de convives.

Comes e bebes foram servidos no casamento em tal abundância que a noiva e o noivo começaram a se questionar se não deveriam ter convidado mais gente.

Les Espagnols, avec leurs chevaux, leurs épées et leurs lances, commencèrent à se livrer à d'étranges atrocités ; ils entrèrent dans les villages, les bourgs et les villages n'épargnant ni les enfants, ni les aînés, ni les femmes enceintes et parturientes ; ils leur ouvrirent les entrailles, les taillèrent en morceaux tels des agneaux emprisonnés dans leurs enclos. Ils firent des paris sur qui, d'un seul coup d'épée, trancherait et ouvrirait un homme en deux, ou qui, d'un seul coup, lui couperait la tête, ou même sur qui, d'un seul coup, ouvrirait mieux les entrailles d'un homme.

Os espanhóis, com seus cavalos, suas espadas e lanças, começaram a praticar crueldades estranhas; entravam nas vilas, burgos e aldeias, não poupando nem as crianças e os homens velhos, nem as mulheres grávidas e parturientes e lhes abriam o ventre e as faziam em pedaços como se estivessem golpeando cordeiros fechados em seu redil. Faziam apostas sobre quem, de um só golpe de espada, fenderia e abriria um homem pela metade, ou quem, mais habilmente e mais destramente, de um só golpe lhe cortaria a cabeça, ou ainda sobre quem abriria melhor as entranhas de um homem de um só golpe.