Examples of using "Hetken" in a sentence and their french translations:
Pouvez-vous patienter quelques instants, je vous prie ?
Attendez ici un moment s'il vous plaît.
Je reste là encore un peu.
- Je peux te déranger un moment ?
- Puis-je te déranger un moment ?
- Puis-je vous déranger un instant ?
- Veux-tu m'aider une minute ?
- Voulez-vous m'aider une minute ?
Puis-je me reposer un peu ?
Elle est restée ici un moment.
Veuillez attendre un peu plus longtemps.
Je lui ai demandé d'attendre un moment.
pour éviter les heures les plus chaudes.
Je vous rejoins dans une minute.
Tom resta silencieux pendant un moment.
Voyez-vous un inconvénient à ce que je regarde un moment la télé ?
J’aimerais parler rapidement à Tom en tête à tête.
Est-ce que je peux chevaucher ce cheval un moment ?
Il me faut quelques secondes pour analyser la situation.
Un moment d'hésitation peut coûter la vie à un pilote.
pour éviter les heures les plus chaudes. Il commence déjà à faire chaud,
Vas-tu fermer ton clapet, une minute ?
J'aimerais que l'on me laisse seul un moment, si vous n'y voyez pas d'inconvénient.
- Veuillez patienter un instant.
- Patientez un instant, s'il vous plaît.
Monsieur Sato est sur une autre ligne. Pouvez-vous rester en ligne une minute ?
J'étais arrivé au dénouement de quelque chose. Que faisait donc cet animal ?
Il est resté ici pendant un moment.
Dans le désert, il est important de se lever tôt pour éviter les heures les plus chaudes.
Dans le désert, il est important de se lever tôt pour éviter les heures les plus chaudes.
- Laisse-moi réfléchir un peu.
- Laissez-moi réfléchir un moment.
Tom a vécu dans sa voiture un moment après avoir rompu avec Mary.
Un vieil homme conta à son petit-fils : « Mon garçon, en nous tous a lieu une bataille entre deux loups. L'un est malfaisant. Il n'est que colère, jalousie, avidité, ressentiment, infériorité, mensonge et amour-propre. L'autre, lui, est bon. Il est joie, paix, amour, espérance, humilité, gentillesse, empathie et vérité. » Le garçon songea puis demanda : « Grand-père, lequel des deux loups triomphe ? » Et le vieil homme doucement de répondre : « Celui que tu nourris. »
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Le repas copieux pris et son cartable fin prêt, Link chercha in extremis du réconfort auprès de ses amis. "Zelda, j'ai besoin de conseils." "Tu n'as quand même pas déjà peur", dit Zelda, renfrognée. "Non. Je veux juste l'avis de quelqu'un qui a déjà été au lycée et tu es la personne la plus intelligente que je connaisse !" Link sourit. Zelda laissa échapper un léger rire. "Merci. Toi alors..." "Les profs sont d'une sévérité à couper le souffle !" interrompit le roi d'un sourire malicieux. "Hein ?!" "Père !" s'exclama la princesse d'un ton réprobateur. "Désolé, poursuis." "Donc, Link-" Cette fois, un bruit de klaxon lui coupa la parole. "Ça doit être mon bus qui arrive," dit Link prestement, "Au revoir, tout le monde !" "Gare au hachis surprise !" Gwonam sembla jaillir de nulle part. "Hé, évite d'être touché !" ajouta le Roi et les deux ricanèrent. Link, pris de court, sembla brièvement vexé, mais Zelda lui témoigna son soutien : "Ne t'occupe pas d'eux, Link. Ça ira. J'en suis sûr..." "Ne t'inquiète pas, Zelda. Tout ira bien." Link redevint aussitôt radieux. "Bien. Embrasse-moi avant de partir." Mais Link fit volte-face et rétorqua sournoisement et avec une cruauté d'ado, "Dans tes rêves, princesse ! Voilà longtemps que je n'ai plus d'illusions avec toi. Mais je t'aime toujours," ajouta-t-il après coup avant de quitter le château. "Je ne vois pas ce qui la préoccupe. Tout ira bien" se dit-il en montant dans le bus, confiant.