Examples of using "Scarce" in a sentence and their french translations:
La viande est rare.
des ressources rares.
L'emploi est rare.
Seul l'argent était rare.
et lorsque la nourriture se raréfiera.
Les arbres étaient très rares.
La pluie est rare dans ce pays.
Il manque de l'eau dans cette zone.
Le temps est un bien rare et irrécupérable.
Les données sur l'océan sont très minces.
Bientôt, les pénuries de nourriture commencèrent.
La nourriture est toujours insuffisante dans cette région.
Les cabines téléphoniques sont très rares, dans les environs.
pour le contrôle des ressources rares qui restent à leur disposition.
Je vis dans l'ouest du Texas, où l'eau est déjà rare
Le bleu, en revanche, était assez rare avant sa fabrication.
société emplois des ressources rares a des fins de production, en réponse aux besoins
Les mots clé dans cette définition est : L’emplois des ressources rares, la production, le besoin
Il dit, et tout à coup le nuage profond / s'entr'ouvre, et dans les airs légèrement s'écoule.
Du premier arbrisseau que mon effort détache, / un suc affreux jaillit sous la main qui l'arrache, / et rougit, en tombant, le sol ensanglanté.
Les documents relatifs à cette période sont particulièrement rares, peut-être à cause d'une longue série de désastres naturelles qui ont frappé la capitale.
Tout à coup, de Pyrrhus fuyant la main cruelle, / à travers mille dards, un dernier fils du roi / s'échappe, et du palais dépeuplé par l'effroi / traverse tout sanglant la longue galerie.
" Un accueil séducteur le retient chez Didon, / et je crains un asile accordé par Junon. / Sa haine vigilante et sa fureur active / dans de pareils moments ne sera point oisive. "
" Berceau de nos aïeux, ces lieux nous redemandent : / la déesse ma mère et les dieux le commandent. "
Je marche vers ces lieux ; mais son œil de plus près / à peine eut reconnu mon visage, mes traits, / distingué mes habits et mes armes troyennes, / elle tombe : son sang s'est glacé dans ses veines. / Elle reste longtemps sans force et sans couleur ; / mais enfin, rappelant un reste de chaleur :
" Les uns courent au loin répandre le carnage ; / d'autres, le fer en main, gardent chaque passage : / l'affreux tranchant du glaive, et la pointe des dards, / prêts à donner la mort, brillent de toutes parts ; / et de gardes tremblants à peine un petit nombre / se défend au hasard, et résiste dans l'ombre. "
" Son simulacre à peine est placé parmi nous, / que dans ses yeux pétille une flamme brillante ; / de tout son corps dégoute une sueur sanglante ; / et, secouant sa lance et son noir bouclier, / trois fois elle bondit sous son casque guerrier. "
Vers la gauche, à ces mots, éclate le tonnerre ; / et, des voûtes des cieux s'élançant vers la terre, / un astre dans la nuit traînant de longs éclairs / semble sur le palais tomber du haut des airs.
Je dis : et tout à coup je sens de l'immortel / s'agiter le laurier, et le temple, et l'autel. / Le mont tremble ; chacun vers la terre s'incline, / et ces mots sont sortis de l'enceinte divine :
On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.
La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.
La nuit couvrait le ciel ; tout dormait, quand mes dieux, / ravis dans Troie en cendre à la fureur des feux, / aux rayons de Phébé qui brillait tout entière, / m'apparaissent en songe, éclatants de lumière, / consolent mes chagrins, et m'adressent ces mots :
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "