Examples of using "Purple" in a sentence and their french translations:
Sont-ils violets ?
Est-ce violet ?
Mon chandail est lilas.
J'aime cette chemise violette.
et le fauteuil rose-violet assorti, n'est-ce pas ?
Pour toujours un doigt rose et violet.
Elle était de sang royal.
- Ce mauve vous va bien. - Merci.
Cette couleur est plutôt lilas que rose.
Les belles en lilas, bien sûr, en violet.
Le vélo violet coûte moins cher que le jaune.
Si on mélange du bleu et du rouge, on obtient du violet.
La fille, juste à côté, avec le casque rose-violet,
Énée et les Troyens déjà sont rassemblés ; / sur des tapis de pourpre avec pompe étalés / chacun a pris sa place, et leur rang la décide.
Dans la robe kabyle, on trouve plus d'une couleur. On y trouve, le noir, le bleu, le vert, le mauve, le bleu marine, le rose, le rouge, l'argenté, le turquoise, le violet, le blanc, le jaune, l'orange, et le gris. Elle est multicolore.
Qu'est-ce que je me suis retenu à part ce manteau violet et ce diadème ?
Savais-tu qu'en mélangeant du rouge et du bleu on obtient du violet ?
Il utilisait l'équivalent du mot "violet" pour décrire du sang, un nuage sombre, une vague,
" Ces honneurs, dit Vénus, pour moi ne sont pas faits. / Cet habit, ce carquois, cet arc, cette chaussure, / sont des filles de Tyr l'ordinaire parure. "
Je regardai autour de moi. Je me trouvais sur ce qui semblait être une petite pelouse dans le jardin, entourée de buissons de rhododendrons, et je remarquai que leurs bourgeons mauves et violets tombaient en pluie sous les coups des grêlons.
La pourpre que l'aiguille a brodée à grands frais, / l'argent pur étalé sur de riches buffets, / l'or, où, des rois de Tyr retraçant la mémoire, / l'art a de règne en règne imprimé leur histoire ; / tout d'un luxe royal offre la majesté.
Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.
" Ce n'est pas tout encor : lorsque sur le rivage / aux dieux conservateurs tu paîras ton hommage, / qu'un long voile de pourpre, abaissé sur tes yeux, / dérobe à tes regards tout visage odieux ; / défends qu'aucun objet d'un augure sinistre / ne trouble le présage ainsi que le ministre. "