Examples of using "Maid" in a sentence and their french translations:
Il a une femme de ménage.
- Il emploie une femme de ménage.
- Il emploie une servante.
- Je ne suis pas ta servante.
- Je ne suis pas votre servante.
- Je ne suis pas ta bonne.
- Je ne suis pas votre bonne.
Skura dispose d'une servante.
La bonne fit mon lit.
- La femme de chambre servait le thé.
- La femme de chambre servit le thé.
- La femme de chambre a servi le thé.
Où est la demoiselle d'honneur ?
Tom aimerait avoir une domestique.
- Ai-je l'air de votre bonne ?
- Ai-je l'air de ta bonne ?
- Ai-je l'air de votre servante ?
- Ai-je l'air de ta servante ?
La soubrette est entrée portant un gâteau.
On a sonné à la porte, c'est la bonne.
- Dis à la bonne de faire les lits.
- Dites à la bonne de faire les lits.
- Dis à la domestique de faire les lits.
- Dites à la domestique de faire les lits.
La bonne garde le lit.
De nos jours, peu de gens peuvent se permettre d'employer une bonne.
Tom demanda à Marie de s'habiller en soubrette.
La bonne était excédée de ses travaux ménagers.
Mon maître n’est pas à la maison, lui dit le domestique.
" Plusieurs, pressés autour de ce colosse énorme, / admirent sa hauteur, et sa taille, et sa forme. "
La bonne garde le lit.
La vierge la plus ménagère d'elle-même est déjà assez prodigue si elle démasque sa beauté aux regards de la lune.
J'avais un emploi à temps partiel comme femme de chambre dans un hôtel, mais je n'aimais pas beaucoup ça.
L'amour d'une jeune fille est un poème. L'amour d'une femme mûre est de la philosophie.
Ses parents ont réalisé qu'elle ne marierait jamais et, au lieu de cela, mènerait une vie de vieille fille.
La femme de chambre lui a ordonné sur un ton sévère d'enlever ses robes royales et de revêtir ses robes communes.
- « Si tu as soif, » dit la servante, « abaisse-toi, allonge-toi près de l'eau et bois ; je ne compte plus être ta servante. »
- « Si vous avez soif, » dit la servante, « abaissez-vous, allongez-vous près de l'eau et buvez ; je ne compte plus être votre servante. »
O douleur ! de nos rois la fille vénérable, / cette vierge sacrée, et si chère à Pallas, / Cassandre échevelée, et par de vils soldats / traînée indignement du fond du sanctuaire, / levait au ciel ses yeux enflammés de colère ; / ses yeux... Des fers, hélas ! chargeaient ses faibles mains.
Leur arrivée a suscité une grande joie, et le Prince s'est précipité à leur rencontre. Prenant la serveuse pour son épouse, il l'a fait descendre de son cheval et l'a conduite à l'étage, dans la chambre royale.
" Ces honneurs, dit Vénus, pour moi ne sont pas faits. / Cet habit, ce carquois, cet arc, cette chaussure, / sont des filles de Tyr l'ordinaire parure. "
Elle baisse les yeux ; et, s'exprimant à peine : / " Que je te porte envie, heureuse Polyxène ! / Ton cœur ne connut pas les douceurs de l'hymen ; / mais du moins tu péris sous les remparts de Troie, / mais les arrêts du sort qui choisissait sa proie / n'ont pas nommé ton maître, et, captivant ton cœur, / mis la fille des rois aux bras de son vainqueur. "
Voilà qu'au fond d'un bois se présente sa mère ; / son air, son vêtement, sa démarche légère, / d'une vierge de Sparte offre tous les dehors ; / ou telle, au pied d'Hémus, l'Hèbre voit sur ses bords / l'Amazone, animant les coursiers qu'elle dresse, / voler, et de ses flots devancer la vitesse.