Examples of using "Hollow" in a sentence and their french translations:
Une victoire sans honneur est vaine.
C'était une autre promesse en l'air.
Les chèvres ont deux cornes creuses.
Un arbre creux mérite d'être étudié.
Ma vie est vide sans lui.
Un homme sans idéaux est vide.
Le renard s'est caché dans l'arbre creux.
Ses oreilles surdimensionnées guettent les vibrations dans le bois creux.
La Syrie sainte, la Palestine, la Mésopotamie, la Babylonie, tout vous appartient !
C’est au creux du rocher que j’ai fait le guet.
Ce melon sonne creux. C'est peut-être pour ça qu'il était si bon marché.
Ma vie est vide sans lui.
ne s'engagea dans la cause chrétienne, et en 1461 l'appel du pape pour une croisade sonna creux.
dans le creux de vos mains ", et avec ça ils commencent à descendre vers la vallée du Pô.
Lorsqu'un livre et une tête se télescopent et qu'un bruit creux se fait entendre, faut-il que cela provienne toujours du livre ?
Il dit : on applaudit, on dépose au rivage / tous ceux que retenait ou leur sexe ou leur âge. / Le vent gonfle la voile ; et, sur les vastes eaux, / nous cherchons des périls et des climats nouveaux.
Les uns sur la cime des flots / demeurent suspendus ; d'autres au fond des eaux / roulent, épouvantés de découvrir la terre : / aux sables bouillonnants l'onde livre la guerre.
Il dit ; et, du revers de son sceptre divin, / du mont frappe les flancs : ils s'ouvrent, et soudain / en tourbillons bruyants l'essaim fougueux s'élance, / trouble l'air, sur les eaux fond avec violence.
" Mais les plus éclairés, se défiant des Grecs, / veulent que, sans tarder, ces présents trop suspects / soient livrés à la flamme, ou plongés dans les ondes, / ou qu'on en fouille au moins les cavités profondes. "
" À ces mots, saisissant sa javeline immense, / de son bras vigoureux avec force il la lance : / le trait part, sifle, vole, et s'arrête en tremblant ; / la masse est ébranlée, et, dans son vaste flanc, / de ses concavités les profondeurs gémirent. "
Caché dans son nuage, il hésite, il balance, / veut savoir leur destin, veut savoir en quels lieux / les ont jetés les vents, les ont conduits les dieux, / quel sort les a sauvés, ou bien sur quel rivage / ils ont laissé la flotte échappée au naufrage, / et quels pressants besoins, quels intérêts nouveaux, / à Carthage ont conduit les chefs de ses vaisseaux.
Dans l'ombre de la nuit la machine guerrière / rend cet affreux dépôt, et de son vaste sein / s'échappe avec transport un formidable essaim. / Déjà, de leur prison empressés de descendre, / glissent le long d'un cable Ulysse avec Thessandre ; / ils sont bientôt suivis de Pyrrhus, de Thoas, / du savant Machaon, du bouillant Acamas, / de Sthénelus, d'Atride, et d'Épéus lui-même, / Épéus, l'inventeur de l'affreux stratagème.
Quand nous sommes jeunes, nous pouvons avoir une expérience totalement nouvelle, subjective ou objective, à chaque heure de la journée. Notre capacité d'attention est indéfectible, notre faculté à retenir les choses est immense et les souvenirs que nous conservons de cette époque, comme les souvenirs de journées consacrées à des voyages rapides intéressants, sont par nature complexes, multiples et durables. Mais à mesure que les années passent et transforment une partie de ces expériences en routines auxquelles nous prêtons de moins en moins attention, les jours et les semaines s'aplanissent dans notre souvenir en unités vides de tout contenu, les années elles-mêmes perdent leur substance et s’effondrent.