Examples of using "Heaven's" in a sentence and their french translations:
Pour l'amour du Ciel.
La vengeance du ciel est tardive mais certaine.
J'aime Dieu, notre père qui est aux Cieux, qui m'a conçu.
Je suis libre comme l'oiseau dans le ciel.
À la belle Vénus, aux dieux dont les auspices / sont aux nobles projets funestes ou propices, / j'offre mon humble hommage ; et le sacré couteau / immole à Jupiter un superbe taureau.
" Fils des dieux ! / Oui, le ciel te prépare un destin glorieux ; / et, dans le cours changeant de sa marche éternelle, / le sort accomplira cette loi solennelle. / Mais il faut, avant tout, t'indiquer les chemins / des mers à qui tu dois confier tes destins. / Je ne m'étendrai point sur tout ce qui te touche ; / à de plus grands secrets Junon ferme la bouche ; / et la Parque, à mes yeux soulevant le rideau, / n'écarte qu'à demi leur terrestre bandeau. "
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "
" La nuit tombe ; et déjà les célestes flambeaux, / penchant vers leur déclin, invitent au repos. / Mais, si de nos malheurs vous exigez l'histoire, / s'il faut en rappeler l'affligeante mémoire, / quoiqu'au seul souvenir de ces scènes d'horreur / mon cœur épouvanté recule de terreur, / j'obéis. "
Muse, raconte-moi ces grands évènements ; / dis pourquoi de Junon les fiers ressentiments, / poursuivant en tous lieux le malheureux Énée, / troublèrent si longtemps la haute destinée / d'un prince magnanime, humain, religieux. / Tant de fiel entre-t-il dans les âmes des dieux !