Examples of using "Gods" in a sentence and their french translations:
Les dieux existent.
Il n'y a pas de dieux.
Dieu existe.
Nos dieux sont morts.
Les dieux sont satisfaits.
- Nous sommes des hommes, non des dieux.
- Nous ne sommes que des hommes, pas des dieux.
De tels dieux n'ont jamais existé.
Puissent les dieux nous assister !
Nous sommes des hommes, non des dieux.
Je ne pense pas que les dieux existent.
- Nous sommes des marionnettes entre les mains des dieux.
- Nous sommes des marionnettes aux mains des dieux.
Rien n'est impossible aux dieux.
Ils craignent les dieux.
Nous ne sommes pas des dieux, mais seulement des hommes.
Ceux qui sont bénis des dieux meurent jeunes.
Nous ne sommes que des hommes, pas des dieux.
Les Grecs avaient l'habitude de prier plusieurs dieux.
L'homme propose, Dieu dispose.
Mercure était le messager des dieux.
Tom croit aux dieux des anciens Grecs.
Les dieux ont décrété que l'homme est mortel.
Les généraux algériens sont les dieux de l'Algérie.
Un bon vin est un don des dieux.
tous les dieux et les démons qui ont régné sur nos vies
Après tout, les dieux aussi peuvent se tromper parfois.
"Ceux que les dieux aiment meurent jeunes", disait-on autrefois.
On sacrifiait des gens aux Dieux autrefois. Maintenant on ne le fait plus.
ou l'un des nombreux autres dieux du panthéon viking.
Même les dieux meurent quand plus personne ne croit en eux.
Que les dieux et les déesses vous bénissent toujours.
«Les dieux m'inviteront à entrer, dans la mort il n'y a pas de soupir.
Quel bonheur que d'être aimé ! Et d'aimer, Ô Dieux, quelle félicité !
L'amitié d'un grand homme est un bienfait des dieux.
Socrate a dit : « Celui qui sait se passer du superflu est le plus proche des dieux. »
Les dieux d'une religion en déclin deviennent les démons d'une naissante.
Accepter les cadeaux est humain, les donner au pauvre est divin.
Quand ils n'ont plus de prêtres, les dieux deviennent très faciles à vivre.
" Non : la mère des dieux me retient auprès d'elle. "
Nous ne sommes pas des dieux, mais seulement des imposteurs qui ont décidé qu'ils étaient autorisés à tout faire.
Des mouches pour des enfants espiègles, voilà ce que nous sommes pour les dieux ; ils nous tuent pour leur divertissement.
- L'homme propose, Dieu dispose.
- L'homme propose et Dieu dispose.
Un ami vrai, qui ose nous dire nos défauts, est le plus grand présent des dieux.
Le Dieu des musulmans ne comprend que l'arabe; mais on peut prier les autres dieux dans n'importe quelle langue.
Joie, belle étincelle des dieux, fille de l’Élysée, nous entrons l’âme enivrée dans ton temple glorieux.
Ce qui est permis à Jupiter n'est pas permis au bœuf.
" Ah ! si ce peuple affreux brave les lois humaines, / il est, il est des dieux qui, par de justes peines, / récompensent le crime et vengent le malheur. "
- Ils ont tué une chèvre pour la sacrifier aux dieux.
- Ils ont tué la chèvre pour la sacrifier aux dieux.
- Ils ont tué la chèvre en sacrifice à Dieu.
- Ils abattirent cette chèvre pour la sacrifier aux dieux.
De tous les attributs des dieux, celui qui provoque en moi le plus de compassion est leur incapacité au suicide.
Errant en cent climats, triste jouet des flots, / longtemps le sort cruel poursuivit ce héros, / et servit de Junon la haine infatigable. / Que n'imagina point la déesse implacable.
Anchise prend un vase orné d'une guirlande ; / et, joignant la prière à sa liquide offrande, / debout sur le tillac, s'écrie : " O dieu des flots ! / Vous qui leur commandez le trouble et le repos, / et vous, dieux du rivage, écoutez ma prière : / " Dieux puissants, nous touchons au bout de la carrière : / encore un vent propice, encore un souffle heureux. "
Mon père, à cet aspect, se lève, et, plein de joie, / invoque et Jupiter et l'astre qu'il envoie.
Aussitôt, de mon fils, d'Anchise, de mes dieux, / je laisse à mes amis le dépôt précieux.
Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "
Que ne donnerais-je pas en ce moment, grands dieux! pour n'être pas marié!
Sur eux, le fer en main, nous fondons avec joie, / et nos dieux sont admis à cette riche proie. / Une table, dressée au bord courbé des mers, / se couvre de ces mets par le hasard offerts.
Maintenant que tu es parti, parce que tu languissais après la maison de ton père, pourquoi as-tu dérobé mes dieux ?
En ces moments affreux, / qui n'implorai-je point des hommes et des dieux ! / Non, Ilion en feu, non, cette nuit terrible, / pour ce cœur déchiré n'eut rien de plus horrible.
Dans la cour du palais, de ses rameaux antiques / un laurier embrassant ses autels domestiques / les couvrait de son ombre.
À la belle Vénus, aux dieux dont les auspices / sont aux nobles projets funestes ou propices, / j'offre mon humble hommage ; et le sacré couteau / immole à Jupiter un superbe taureau.
On connaît maintenant l'origine scientifique du tonnerre, et le peuple ne croit plus qu'il s'agit d'un signe que les dieux sont en colère contre eux, alors le tonnerre est un peu moins apeurant.
" Reconnais à mon sort les célestes décrets. / C'en est fait ; du destin la volonté jalouse / ne t'a point pour compagne accordé ton épouse. "
Il n'y a rien que Dieu ne puisse.
" Grand roi ! prenez pitié de mon destin funeste ; / par les dieux immortels, par la foi que j'atteste, / plaignez mon innocence, épargnez mes malheurs ! "
" Vous, mon père, prenez nos dieux, nos vases saints ; / je ne puis y toucher avant qu'une onde pure / du sang dont je suis teint m'ait lavé da souillure. "
Anchise lève aux cieux ses vénérables mains : " Dieux ! ô dieux ! écartez ces fléaux inhumains ! / Venez à moi, dit-il, déités que j'encense ! / Secourez le malheur, secourez l'innocence ! "
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.
" Arbitre souverain de l'empire des cieux, / toi qui, régnant dans l'air, sur la terre et sur l'onde, / tiens en main et la foudre et les rênes du monde, / qu'a donc fait mon Énée, et qu'ont fait les Troyens ? / Sauvés par mes secours du fer des Argiens, / faut-il, pour leur fermer les chemins d'Ausonie, / que de tout l'univers leur race soit bannie ? "
Tout à coup d'Apollon je vois le saint-ministre, / tout pâle des horreurs de cette nuit sinistre, / portant ses dieux vaincus, traînant son petit-fils, / échapper à grands pas au fer des ennemis.
"Pars, emmène les tiens de ces funestes lieux, / du triomphe des Grecs épargne-leur l'insulte : / Ilion te remet le dépôt de leur culte. / Cherche-leur un asile, et qu'au-delà des mers / leur nouvelle cité commande à l'univers ! "