Examples of using "Bore" in a sentence and their french translations:
Quel ennui.
Les fêtes m'ennuient.
- Quel connard !
- Quel connard !
- Quel emmerdeur !
- Quelle emmerdeuse !
Elle s'est conduite avec grâce.
Ses efforts ont porté leurs fruits.
J'ai enduré cette épreuve.
Quel ennui.
Il est certain que tu ennuies les gens.
L'arbre portait des pommes d'or.
- Tu commences à m'ennuyer.
- Vous commencez à me lasser.
Cet effort fut infructueux.
Elle lui a donné quatre enfants.
J'espère que je ne t'ennuie pas.
Tu m'importunes vraiment.
Il avait une rancune envers moi.
Ces exercices assoupissent nos soucis et nos pensées d'ordinaire agitées,
L'impôt frappait durement la paysannerie.
Elle se comporte bien dans un environnement difficile.
Quel ennui.
- Je ne t'ennuierai pas avec les détails.
- Je ne vais pas t'ennuyer avec les détails.
Quel ennui.
La Lune présentait des montagnes et des vallées, comme la Terre,
de ce nom, que la colonie portait auparavant .
« s'ennuyer » au meilleur sens du terme !
Sa femme lui a fait deux filles et un fils.
Les gens qui parlent tout le temps d'eux-mêmes m'ennuient.
J'en ai marre de toi.
Il est possible que les sermons du pasteur t'ennuient mais ils sont édifiants moralement.
- Je pourrais te parler d'apiculture pendant des heures, mais je ne veux pas t'ennuyer.
- Je pourrais vous parler d'apiculture pendant des heures, mais je ne veux pas vous ennuyer.
Honnêtement, ses discours sont toujours ennuyeux.
" Brave Énée, êtes-vous, pardonnez ma franchise, / êtes-vous ce héros que du beau sang d'Anchise / Cythérée a fait naître aux bords du Simoïs ? "
C'était si douloureux que j'aurais pu hurler, mais j'ai serré les dents et courageusement supporter la douleur.
A Lützen, Ney a été ému par la conduite de ses jeunes conscrits, qui ont porté le poids de
Son traitement indulgent envers les Phocidiens à la fin de la précédente guerre sacrée, il y a plusieurs années, porta ses fruits.
Nos amis de la vie réelle peuvent parfois nous ennuyer, mais les amis que nous trouvons dans les livres ne feraient jamais ça.
C'est tout ce que tu as trouvé pour m'emmerder, avec tout le mal que tu te donnes ?
Le roi de l'Orient avait un beau jardin et, dans ce jardin, se trouvait un arbre qui portait des pommes d'or.
Je suppose que la société offre un charme étonnant. Si le fait d'y vivre est franchement ennuyeux, celui de vivre hors d'elle est tout bonnement tragique.
Sa barbe hérissée, et ses habits poudreux, / le sang noir et glacé qui collait ses cheveux, / ses pieds qu'avaient gonflés, par l'excès des tortures, / les liens dont le cuir traversait leurs blessures ; / son sein encor percé des honorables coups / qu'il reçut sous nos murs en combattant pour nous : / tout de ses longs malheurs m'offrait l'image affreuse.
À la belle Vénus, aux dieux dont les auspices / sont aux nobles projets funestes ou propices, / j'offre mon humble hommage ; et le sacré couteau / immole à Jupiter un superbe taureau.
Un bouclier d'Abas, devenu ma conquête, / du temple par mes mains a décoré le faîte ; / et je grave au-dessous du monument guerrier : ÉNÉE AUX GRECS VAINQUEURS RAVIT CE BOUCLIER.
" Calchas veut qu'aussitôt la voile se déploie : / tous nos traits impuissants s'émousseront sur Troie, / si, dans les murs d'Argos revolant sur les eaux, / les Grecs ne vont chercher des augures nouveaux. "
Oronte, sur le sien, tel qu'un mont escarpé, / voit fondre un large flot : par sa chute frappé, / le pilote tremblant, et la tête baissée, / suit le flot qui retombe ; et l'onde courroucée / trois fois sur le vaisseau s'élance à gros bouillons, / l'enveloppe trois fois de ses noirs tourbillons ; / et, cédant tout à coup à la vague qui gronde, / la nef tourne, s'abîme, et disparaît sous l'onde.
" Troyens ! c'est au berceau de vos premiers parents / que je promets un terme à vos destins errants ; / allez, et recherchez la terre paternelle : / là, naîtra de vainqueurs une race éternelle ; / là règneront Énée et ses derniers neveux, / et les fils de ses fils, et ceux qui naîtront d'eux. "
Il y fait joindre encor le sceptre qu'Ilione / reçut du vieux Priam, et sa riche couronne, / qui réunit à l'or l'éclat du diamant ; / enfin, de son collier le superbe ornement, / ces trésors arrondis, ces perles que l'aurore / de l'onde orientale autrefois vit éclore : / il veut ; et son ami court, docile à sa loi, / remplir les vœux d'un père, et les ordres d'un roi.
Errant en cent climats, triste jouet des flots, / longtemps le sort cruel poursuivit ce héros, / et servit de Junon la haine infatigable. / Que n'imagina point la déesse implacable.
" Ces continents, dit-on, séparés par les ondes, / réunis autrefois, ne formaient qu'un pays ; / mais, par les flots vainqueurs tout à coup envahis, / à l'onde usurpatrice ils ont livré la terre, / dont le double rivage à l'envi se resserre : / ainsi, sans se toucher, se regardent de près, / et les bords d'Hespérie, et l'île de Cérès. / Entr'eux la mer mugit, et ses ondes captives / tour à tour en grondant vont battre les deux rives : / sublime phénomène, étranges changements, / de l'histoire du monde éternels monuments ! "
Le bord fuit : devant nous s'étend la mer profonde ; / tout à coup la tempête, apportant la terreur, / sur l'onde au loin répand sa ténébreuse horreur.