Examples of using "Confessed" in a sentence and their french translations:
- J'ai confessé.
- Je l'ai confessé.
- Tom a finalement avoué.
- Tom finit par avouer.
Tom a avoué.
J'ai confessé.
Elle a tout confessé.
Tom vient d'avouer.
- Tom a finalement avoué.
- Tom finit par avouer.
L'homme a finalement avoué.
Il a confessé sa culpabilité.
Il a avoué son crime.
J'ai confessé mon péché.
Il a rapidement tout confessé.
Il lui a avoué ses sentiments.
Le suspect a avoué.
Tom a avoué qu'il avait tué Mary.
Il a ouvertement avoué son crime.
Le meurtrier confessa son crime.
Il s'avoua coupable.
J'avouai avoir volé l'argent.
Il se repentit et reconnut son crime.
Il a avoué qu'il était un menteur.
Il s'avoua coupable.
Faute avouée est à moitié pardonnée.
- Elle lui confessa son amour.
- Elle lui a confessé son amour.
Dan a tout avoué à la police.
Péché avoué est à moitié pardonné.
En se triturant les mains, il a avoué :
Il confessa ses péchés au pasteur.
Est-ce que quelqu’un t’a déjà déclaré sa flamme ?
Il a avoué qu'il avait cassé le vase.
- Il a confessé sa culpabilité.
- Il reconnut sa culpabilité.
Selon les journaux, l'homme s'est finalement confessé.
À force de le cuisiner, il a fini par lâcher le morceau.
- Il s'avoua coupable.
- Il reconnut sa culpabilité.
À la surprise de générale, Fadil avoua rapidement les meurtres.
"Vous n'avez plus besoin de mentir! Votre collègue a tout avoué."
- Tom avoua avoir assassiné Mary.
- Tom a reconnu avoir tué Marie.
- Tom avoua qu'il avait tué Mary.
Le suspect avait eu un interrogatoire sévère avant qu'il n'avoue son crime.
- Il a confessé sa culpabilité.
- Il a confessé sa faute.
- Il reconnut sa culpabilité.
Tom m’a déclaré sa flamme hier, et depuis nous sortons ensemble.
Le bûcheron a avoué, devant l'IBAMA, qu'il a coupé un arbre protégé.
- Il a confessé sa culpabilité.
- Il a confessé sa faute.
- Il a fait son mea culpa.
- Il reconnut sa culpabilité.
Tom avoua qu'il avait tué Mary.
Ainsi je m'emportais, lorsque dans la nuit sombre / ma mère, dissipant la noire horreur de l'ombre, / jeune, brillante, enfin telle que dans les cieux / des immortels charmés elle éblouit les yeux, / me retient, et me dit de sa bouche de rose :
Je visite du dieu le temple tutélaire, / et je m'écrie : " O toi, que dans Thymbre on révère, / à ce malheureux peuple, errant, persécuté, / donne un asile sûr, une postérité ! / Où faut-il transporter, nous, nos dieux, et Pergame ? / Viens, parle, éclaire-nous, et descends dans notre âme ! "
La nuit couvrait le ciel ; tout dormait, quand mes dieux, / ravis dans Troie en cendre à la fureur des feux, / aux rayons de Phébé qui brillait tout entière, / m'apparaissent en songe, éclatants de lumière, / consolent mes chagrins, et m'adressent ces mots :
" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "