Examples of using "Communist" in a sentence and their french translations:
Tom est un communiste.
c'est la fête communiste!
Tom est un communiste.
- J'espère que tu ne tourneras jamais communiste.
- J'espère que vous ne deviendrez jamais communiste.
- J'espère que tu ne deviendras jamais communiste.
Quelques Étasuniens rejoignirent le parti communiste.
Je me joins volontiers au Parti communiste chinois.
y compris les sociétés communistes de Chine et du Vietnam,
Le bilan des pays communistes est globalement positif.
Sans le parti communiste, la Nouvelle Chine n'existerait pas.
Ils voulaient évincer le gouvernement communiste de Fidel Castro.
Le parti communiste est l'avant-garde de la classe ouvrière.
et le bust d'un révolutionnaire communiste russe: Vladimir Lénin.
En Algérie l'économie est capitaliste mais la culture est communiste.
Là, d'autres pays voisins comme la Hongrie ou la Bulgarie
Des milliers de citoyens sortirent dans les rues en brandissant le drapeau national sans le symbole communiste.
Juste pour faire la comparaison, en Pologne, quand le régime communiste tomba, il y avait
et le vieux parti communiste changea son nom pour le Parti Démocratique Socialiste, mais les officiels de haut rang
Les Roumains ont vu comment les autres républiques comme la République Tchéque ou la Pologne ont commencé
Lorsque je donne à manger aux pauvres, on me traite de saint. Lorsque je demande pourquoi les pauvres n'ont rien à manger, on me traite de communiste.
Lors de la discussion au congrès du rapport de synthèse du comité central du PCUS, il a été noté que, sous la direction du Parti Communiste et en étroite coopération avec tous les pays socialistes, le peuple soviétique a fait des progrès remarquables dans la lutte pour l'établissement d'une société communiste en URSS et dans celle pour la paix mondiale.
Lorsque je donne à manger aux pauvres, on me traite de saint. Lorsque je demande pourquoi les pauvres n'ont rien à manger, on me traite de communiste.
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.