Examples of using "Velas" in a sentence and their french translations:
- Souffle les bougies.
- Soufflez les bougies.
- Allume les bougies !
- Allumez les bougies !
- Allume les cierges !
- Allumez les cierges !
J'ai allumé les bougies.
Tom a soufflé les bougies.
Plusieurs bougies brûlaient.
- Tom a allumé les bougies.
- Tom alluma les bougies.
Il y avait des bougies partout.
Ils allumaient des bougies das leur chambre.
- Il a allumé des bougies dans sa chambre.
- Elle a allumé des bougies dans sa chambre.
- Vous avez allumé des bougies dans votre chambre.
Vous allumiez des bougies dans votre chambre.
Il allumait des bougies dans sa chambre.
Nous n'allumions pas de bougies dans notre chambre.
Elle a allumé des bougies dans sa chambre.
- Moi, j'aime bien la lumière des bougies.
- J’aime la lumière des bougies.
- J'aime bien la lumière des bougies.
Nous n'avons pas allumé de bougies dans notre chambre.
Vous allumiez des bougies dans votre chambre.
Marie allume des bougies dans sa chambre.
Tu devrais vraiment changer tes bougies d'allumage.
Un gâteau de fête avec douze chandelles dessus.
- Mets des chandelles sur le gâteau de fêtes s'il te plaît.
- Mets quelques bougies sur le gâteau d'anniversaire, s'il te plait.
- Mettez quelques bougies sur le gâteau d'anniversaire, s'il vous plait.
Des milliers de chandelles illuminaient l'église durant la cérémonie.
Il dit : au même instant, de leurs cables tendus / les vaisseaux affranchis à la mer sont rendus.
Alors nous nous courbons sur les flots écumeux, / et la voile baissée a fait place à la rame : / le jour renaît aux cieux, l'espérance en notre âme ; / et de leurs bras nerveux nos ardents matelots / font écumer la mer et bouillonner les flots.
Le jour fuit, un second s'écoule dans la joie ; / mais l'autan a soufflé, la voile se déploie, / et son souffle sur l'onde appelle nos vaisseaux.
Tous veulent fuir ces lieux et ce bord sacrilège, / où l'hospitalité n'a plus de privilège.
Il dit : on applaudit, on dépose au rivage / tous ceux que retenait ou leur sexe ou leur âge. / Le vent gonfle la voile ; et, sur les vastes eaux, / nous cherchons des périls et des climats nouveaux.
Il voit les cieux sereins ; et, du haut de la poupe, / d'un signe impérieux il avertit sa troupe. / Nous partons, nous fuyons, nous volons sur les eaux, / et déployons aux vents les ailes des vaisseaux.
Quand Jupiter, du haut de la voûte éthérée, / contemplant et la terre et la mer azurée, / et les peuples nombreux dans l'univers épars, / sur la Libye enfin arrête ses regards.
Nous partons : nous voyons la riche Oléaros, / Naxos chère à Bacchus, et la blanche Paros, / Donyse aux verts bosquets, tant d'îles renommées / qui sur les vastes mers en cercle sont semées.
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.
" Évite ce malheur. En vain de ton départ / les tiens impatients accusent le retard ; / en vain le vent t'appelle, en vain le temps te presse ; / toi-même va trouver, consulter la prêtresse ; / qu'elle-même te parle, et de ses rocs profonds / laisse échapper pour toi ses prophétiques sons, "
On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "