Examples of using "Preocupada" in a sentence and their french translations:
- Je suis préoccupé.
- Je suis préoccupée.
Elle s'inquiète pour ses examens.
- Elle s'inquiète pour votre sécurité.
- Elle est inquiète de ta sécurité.
- Elle est inquiète pour ta sécurité.
- Elle est inquiète pour votre sécurité.
- Elle s'inquiète de ta sécurité.
- Elle s'inquiète de votre sécurité.
- Elle se fait du souci pour ta sécurité.
- Elle se fait du souci pour votre sécurité.
Sa mère se fait du souci à son sujet.
- Je suis préoccupé.
- Je me fais du souci.
- Je me fais du souci pour elles.
- Je me fais du souci pour eux.
- Je me fais du souci à leur sujet.
Helen est très inquiète pour sa fille.
- Sa mère s'inquiète à son sujet.
- Sa mère se fait du souci à son sujet.
Elle était préoccupée par sa santé.
- Je me fais du souci à son sujet.
- Je me fais du souci pour elle.
- Ne t'inquiète pas.
- T'inquiète.
Vous êtes inquiets.
- Je ne me fais pas de souci à ton sujet.
- Je ne me fais pas de souci à votre sujet.
- Je suis inquiète pour le bébé.
- Je suis inquiet pour le bébé.
- Tu ne sembles pas très concerné.
- Tu ne sembles pas très concernée.
- Vous ne semblez pas très concerné.
- Vous ne semblez pas très concernée.
- Vous ne semblez pas très concernés.
- Vous ne semblez pas très concernées.
- Je ne me fais pas de souci pour eux.
- Je ne me fais pas de souci pour elles.
- Je ne me fais pas de souci à leur sujet.
Je suis très inquiet.
- Je ne me fais pas de souci à son sujet.
- Je ne me fais pas de souci pour lui.
- Je ne me fais pas de souci pour elle.
- Je ne me fais pas de souci à son sujet.
Pourquoi es-tu si inquiet ?
- Elle s'inquiète pour votre sécurité.
- Elle est inquiète de ta sécurité.
- Elle est inquiète pour ta sécurité.
- Elle est inquiète pour votre sécurité.
- Elle s'inquiète de ta sécurité.
- Elle s'inquiète de votre sécurité.
- Pourquoi es-tu inquiet ?
- Pourquoi es-tu inquiète ?
- Pourquoi êtes-vous inquiet ?
- Pourquoi êtes-vous inquiets ?
- Pourquoi êtes-vous inquiètes ?
- Pourquoi êtes-vous inquiète ?
" Mais, pour mieux vous calmer, je veux de votre Énée / suivre dans tout son cours la haute destinée. / De ce fils, votre amour, cent combats glorieux / signaleront bientôt le bras victorieux. / Vainqueur de l'Ausonie, à ses peuples dociles / il donnera des mœurs, et des lois, et des villes. / Là, tandis que l'état fleurira sous ses lois, / le printemps aux frimas succédera trois fois. "