Examples of using "Afinal" in a sentence and their french translations:
après tout, nous sommes chers
vie confortable chère après tout
Tu avais bon après tout.
Il avait raison, après tout.
- Tu avais tort après tout.
- Vous aviez tort après tout.
L'archéologie est une science après tout
Nous nous rencontrerons finalement aujourd'hui.
après tout un canal d'origine juive
Eh bien, après tout, l'Amérique a été adoptée
Mais qui est SSI de toute façon?
Après tout, Leonardo Da Vinci est comme ça
Que dois-je donc croire sérieusement ?
Elle n'est finalement pas venue.
C'est une enfant, après tout.
Ils ne sont en aucun cas des créatures industrieuses Résultats
Après tout, qui était là pour le noter ou s'en souvenir?
car, après tout, il n'y avait personne à qui demander la permission.
- J'ai finalement été relâché.
- Je fus finalement relâché.
- J'ai finalement été relâchée.
- Je fus finalement relâchée.
Ne t'inquiète pas ! De toute façon, ici, il ne se passe jamais rien.
Après tout, le mauvais chemin mène toujours quelque part.
- Enfin, vous avez mis le doigt dessus !
- Enfin, tu as mis le doigt dessus !
- Tom a finalement avoué.
- Tom finit par avouer.
- Quand apprendras-tu jamais ?
- Quand apprendrez-vous jamais ?
- As-tu parlé le moins du monde ?
- Avez-vous parlé le moins du monde ?
Tout le talent d'écrire ne consiste après tout que dans le choix des mots.
Ne tue-t-il pas? Ne fuyons pas les faits. Bon, il y a plus de gens qui meurent de la grippe, après tout.
Nous sommes un, après tout, toi et moi. Ensemble, nous souffrons, ensemble nous existons et toujours éternellement nous nous recréons l'un l'autre.
La philosophie ne consiste-t-elle pas, après tout, à faire semblant d'ignorer ce que l'on sait et de savoir ce que l'on ignore?
Enfin, le jour suivant, le noir horizon s'ouvre ; / des monts dans le lointain le sommet se découvre, / et leur vapeur s'élève en tourbillons fumeux.
" Mais enfin, tourmenté par les clameurs d'Ulysse, / d'accord avec le traître, il résout mon supplice. "
Comment est-il possible que les mathématiques, qui sont après tout un produit de la pensée humaine indépendant de l'expérience, soient si admirablement adaptées aux objets de la réalité ?
" Dieux paternels ! dit-il, c'en est fait, je me rends ; / protégez ma famille, et sauvez mes enfants ! / J'accepte avec transport ce présage céleste. / Dieux puissants ! d'Ilion vous sauverez le reste. / Viens, mon fils, je te suis. "
Là volent sur le bord imploré si longtemps / les Troyens, du naufrage encor tout dégouttants. / La rive les reçoit ; son tutélaire ombrage / accueille les vaisseaux échappés à l'orage; / et le nocher étend, au bord des flots amers, / ses membres pénétrés du sel piquant des mers.
" Le perfide poursuit avec sécurité : / " Grand roi, vous apprendrez la simple vérité. / D'abord, je l'avourai, ma patrie est la Grèce : / de nier mon pays je n'ai point la faiblesse ; / le sort peut, sur Sinon déployant sa rigueur, / le rendre malheureux, mais non pas imposteur. " "
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.