Examples of using "Őrült" in a sentence and their french translations:
- J'hallucine !
- Dingue !
- C'est dément !
- Espèce de taré !
- Tom est dérangé.
- Tom est dingue.
- Tu es fou !
- T'es cinglé !
- Tu es fou !
- T'es dingue !
- Vous êtes dingue !
- Vous êtes givré !
- T'es cinglé !
- Je ne suis pas fou.
- Je ne suis pas folle.
- Je ne suis pas fou.
- Je ne suis pas folle.
Tu n'es pas fou.
- Tu es fou.
- Toi, tu es fou.
- Tu es folle.
- Tu es cinglé.
Est-ce que nous sommes des écureuils fous ?
J'ai été idiot.
- Tu es fou.
- Vous êtes fous.
- Vous êtes dément.
- Penses-tu que je sois fou ?
- Pensez-vous que je sois fou ?
- Penses-tu que je sois folle ?
- Pensez-vous que je sois folle ?
- Ai-je déjà mentionné que je suis fou ?
- Ai-je déjà fait mention que j'étais fou ?
Il lui manque une soupape.
qui est ouvert pour suivre mes idées folles.
La poursuite s'engage.
- Beaucoup de personnes pensent que je suis fou.
- Beaucoup de monde pense que je suis folle.
Ils pensaient que j'étais à la masse
Mais cessez de les nommer « folie ».
et que vous avez des idées folles et audacieuses,
Nous avons cette série sur la politique qui sombre dans la folie
- Tu es fou.
- Tu es folle.
- Tu es cinglé.
- Tu es dingue.
- Un génie n'est que quelqu'un qui a échappé à la folie.
- Entre le génie et la folie, il n'y a qu'un pas.
- Je suis peut-être vieux, mais pas fou.
- Je suis peut-être vieille, mais pas folle.
- Êtes-vous fou ?
- Es-tu folle ?
- Êtes-vous folle ?
Un fou n'est pas redevable de ses actions.
D'où tient-il cette folle idée ?
Je suis complètement fou.
La plupart des gens pensent que je suis fou.
Je suis peut-être ivre mais je ne suis pas fou.
Hamlet agit comme s'il était fou.
Comment en es-tu venu à cette idée folle ?
- La plupart des gens pensent que je suis fou.
- La plupart des gens pensent que je suis cinglé.
- Espèce d'imbécile !
- Espèce d'idiot !
- Crétin !
- Idiot !
- Idiotie !
- Pauvre imbécile !
- Pauvre con !
- Espèce de bourricot !
- Espèce d'idiote !
- Idiote !
- Imbécile !
- Quel idiot j'ai été !
- Quelle idiote j'ai été !
J’ai eu une semaine stressante.
- Tu es fou !
- T'es cinglé !
- T'es dingue !
- Vous êtes dingue !
- Vous êtes dingues !
- T'es givré !
- T'es givrée !
- Vous êtes givré !
- Vous êtes givrée !
- Vous êtes givrés !
- Vous êtes givrées !
- Tu es fou.
- Tu es folle.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.