Translation of "Déplorable" in Portuguese

0.005 sec.

Examples of using "Déplorable" in a sentence and their portuguese translations:

- C'est une affaire consternante.
- C'est une affaire déplorable.
- C'est une affaire affligeante.
- C'est une affaire lamentable.

Aquilo é uma coisa lastimável.

Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée / marqua par cent malheurs sa mort infortunée, / il périt, en voyant de ses derniers regards / brûler son Ilion et tomber ses remparts. / Ce potentat, jadis si grand, si vénérable, / n'est plus qu'un tronc sanglant, qu'un débris déplorable, / dans la foule des morts tristement confondu, / hélas ! et sans honneur sur le sable étendu.

Assim se consumou de Príamo o destino; / este foi o final – morrer, vendo arder Troia / e reduzir-se Pérgamo a destroços – / que a sorte reservou a quem se destacava / até há pouco dentre tantos soberanos / de toda Ásia. Seu corpo numa praia / foi sem honra nenhuma abandonado: / um tronco informe e uma cabeça decepada.

" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "

"Porém não soube, insano, silenciar / e jurei que se a sorte eu tivesse algum dia / de vitorioso retornar à minha pátria, / Palamedes teria um vingador; / e do ódio os aguilhões contra mim se excitaram. / Foi esta a causa principal de minha ruína: / Ulisses começou então a me aterrar / com mil e uma acusações; não se passava / um só dia sem que ele divulgasse / entre as tropas boatos maliciosos / a meu respeito e procurasse descobrir / armas que contra mim pudesse usar. / Só sossegou depois que por obra de Calcas…"

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".