Translation of "Cruels" in Portuguese

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Examples of using "Cruels" in a sentence and their portuguese translations:

Intolérants, haineux et cruels.

intolerantes, cheios de ódio e cruéis.

Les enfants sont cruels.

Crianças são cruéis.

Les pirates sont cruels.

Os piratas são cruéis.

- Cessez d'être cruelles.
- Cessez d'être cruels.

Parem de ser cruéis.

Les tigres sont plus cruels que nombreux autres animaux.

Os tigres são mais cruéis que muitos outros animais.

Cependant le vent tombe et meurt avec le jour. / Des Cyclopes cruels j'aborde le séjour : / je l'ignorais.

Enquanto o sol se põe e os ventos esmorecem, / sem conhecer bem nossa rota, fatigados, / arribamos à costa dos Ciclopes.

- Cesse d'être cruel.
- Cessez d'être cruel.
- Cesse d'être cruelle.
- Cessez d'être cruelle.
- Cessez d'être cruelles.
- Cessez d'être cruels.

- Para de ser cruel.
- Pare de ser cruel.
- Parem de ser cruéis.

- Ne sois pas cruel envers les animaux.
- Ne soyez pas cruels envers les animaux.
- Ne sois pas cruel avec les animaux.

Não seja cruel aos animais.

- Comment pouvez-vous être si cruel ?
- Comment pouvez-vous être si cruelle ?
- Comment pouvez-vous être si cruels ?
- Comment pouvez-vous être si cruelles ?
- Comment peux-tu être si cruelle ?
- Comment peux-tu être si cruel ?

Como é que podes ser tão cruel?

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”