Translation of "Admire" in Portuguese

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Examples of using "Admire" in a sentence and their portuguese translations:

Tom admire Marie.

Tom admira Maria.

Il admire votre courage.

Ele admira a tua coragem.

- Je t'admire.
- Je vous admire.

Eu te admiro.

Bien que je respecte et admire le cannabis,

Assim, por mais que eu respeite e admire a planta cannabis,

- Je vous admire pour votre courage.
- Je t'admire pour ton courage.

Admiro você pela sua coragem.

Dévouée aux horreurs de ses funestes feux, / Didon surtout, Didon le dévore des yeux ; / et, le cœur agité d'un trouble qui l'étonne, / admire et les présents et celui qui les donne.

Mais que todos, porém, a pobre Dido, / já condenada a consumir-se na fogueira / da futura paixão, devora tudo / com o olhar, vivamente impressionada, / tanto pelos presentes suntuosos / quanto pelo menino encantador.

Le héros, étonné, voit cet immense ouvrage ; / il admire ces tours, ces ports et ces remparts, / le bruit tumultueux des travaux et des arts ; / des chaumes ont fait place à ce séjour superbe, / la colonne s'élève aux lieux où croissait l'herbe.

Eneias / dali admira a obra imponente num local / onde há pouco de nômades apenas / uma aldeia existia; admira as portas / e a animação das ruas bem calçadas.

Tandis que dans le temple, empressé de tout voir, / en attendant la reine, il admire en silence / la pompe de ces lieux et leur magnificence, / il voit représentés tous ces fameux revers, / ces combats dont le bruit a rempli l'univers, / ce fier Agamemnon, ce Priam si sensible, / et ce fils de Pélée à tous les deux terrible.

Pois enquanto a rainha ele aguardava / no belo templo, a examinar detidamente / todas aquelas maravilhas, admirando / a sorte da cidade, onde artesãos competem / entre si, cada qual a demonstrar / enorme habilidade em seu trabalho, / enquanto a obra fazem juntos progredir, / numa série de quadros ele vê / representadas cenas de combates / que em Troia se travaram, nessa guerra / que por todo o universo a fama já apregoara: / eis Agamêmnon, Príamo, eis Aquiles, / que em relação aos dois fora implacável.

Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.

Na claridade, Eneias aparece, / qual um deus no semblante e na postura; / com seu sopro divino, a genitora / dera ao filho formosa cabeleira, / da juventude o róseo viço e a sedutora / graça que de seus olhos se irradiava: / qual pelas mãos do artista se realça / do marfim a beleza, ou quando em rútilo ouro / se engasta a prata ou o mármore de Paros.