Translation of "Feux" in Portuguese

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Examples of using "Feux" in a sentence and their portuguese translations:

Je déteste les feux d'artifice.

Eu detesto fogos de artifício.

Les feux d'artifice sont sensas.

Os fogos de artifício são legais.

Les feux d'artifice sont légaux.

Os fogos de artifício são legais.

Les feux tricolores fonctionnent en continu.

Os semáforos funcionam o tempo todo.

Les chiens ont peur des feux d'artifices.

Os cães têm medo de rojões.

J'aime assister aux feux d'artifice du 14 juillet.

Eu adoro assistir aos fogos de artifício do 14 de julho.

- Les feux tricolores sont utilisés pour réguler le trafic.
- Les feux de circulation sont utilisés pour réguler le trafic.

Os semáforos são usados para regular o tráfego.

Depuis quand y a-t-il des feux d'artifice ?

Desde quando existem fogos de artifício?

Les feux tricolores sont utilisés pour réguler le trafic.

Os semáforos são usados para regular o tráfego.

Il est facile de voir les feux d'artifice de là-bas.

É fácil ver os fogos de artifício dali.

On n'a pas le droit de traverser la rue aux feux rouges.

Não se deve atravessar a rua com o sinal fechado.

- Il est pris entre deux feux.
- Il a le choix entre la peste et le choléra.

Ele está entre a cruz e a espada.

Il dit, et va chercher au fond du sanctuaire / de la chaste Vesta l'image tutélaire, / et les feux immortels, et le bandeau sacré.

Logo me traz dos penetrais sagrados / as fitas, Vesta poderosa e o fogo eterno.

Je restais seul... Des feux les lugubres clartés / guidaient mes pas tremblants et ma vue incertaine, / lorsqu'aux pieds de Vesta je vois l'affreuse Hélène.

Estava eu só, portanto. Rumo ao lar, / caminho olhando em torno tudo que o clarão / do incêndio deixa ver, e eis que distingo / no santuário de Vesta, silencioso, / a tal filha de Tíndaro, escondida.

J'entends tonner les coups de leur main foudroyante ; / tout tombe : je crois voir, de son faîte orgueilleux, / Ilion tout entier s'écrouler dans les feux.

Vejo nas chamas Ílio inteira se abismar, / de alto a baixo esboroar a Troia de Netuno.

Dévouée aux horreurs de ses funestes feux, / Didon surtout, Didon le dévore des yeux ; / et, le cœur agité d'un trouble qui l'étonne, / admire et les présents et celui qui les donne.

Mais que todos, porém, a pobre Dido, / já condenada a consumir-se na fogueira / da futura paixão, devora tudo / com o olhar, vivamente impressionada, / tanto pelos presentes suntuosos / quanto pelo menino encantador.

De là je cours à Troie ; et, couvert de mes armes, / revole dans ses murs affronter les alarmes, / braver, percer encor les nombreux bataillons, / et des feux dévorants franchir les tourbillons.

A armadura reluzente / envergando, retorno à cidade, disposto / a de novo correr todos os riscos, / a vasculhar Troia de ponta a ponta, / a vida expondo em cada lance de perigo.

La joie alors redouble ; on s'anime, et les cris / roulent en longs éclats sous ces vastes lambris. / Des plafonds élevés trente lustres descendent ; / ils s'allument, la nuit cède aux feux qu'ils répandent.

Forte rumorejar faz-se ouvir nos salões, / reverberando alegres vozes dos convivas; / lustres acesos pendem dos caixotes / esplêndidos do teto, e das tochas o brilho / tenta igualar do dia a claridade.

" Entends-moi donc : ce fils, si cher à mon amour, / Ascagne, par son père attendu dans ce jour, / se prépare à porter aux remparts de Carthage / les restes précieux des feux et du naufrage. "

"Agora escuta o que de ti pretendo: / O menino, que um dia será rei / e é meu maior desvelo, a chamado do pai / extremoso a Cartago se encaminha, / à rainha levando alguns presentes, / bens do troiano incêndio e do mar salvos".

Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.

Ao abrigo dos ventos, amplo e calmo / é o porto, porém perto com terríveis / erupções o Etna atroa: ora expelindo / para o alto borbotões de fumegantes nuvens / de negro piche e cinza incandescente, / ou flâmeos globos que às estrelas sobem, / ora as pétreas entranhas da montanha, / com violência arrancadas, disparando, / e vomitando a lava estuante que no peito / do vulcão geme e à boca surge em rubras ondas.

La nuit couvrait le ciel ; tout dormait, quand mes dieux, / ravis dans Troie en cendre à la fureur des feux, / aux rayons de Phébé qui brillait tout entière, / m'apparaissent en songe, éclatants de lumière, / consolent mes chagrins, et m'adressent ces mots :

Caíra a noite e sobre a terra o sono / apoderava-se de toda a humana gente. / As sagradas imagens dos penates / troianos, que, do incêndio da cidade / resgatando, eu comigo transportara, / eis do meu leito, qual num sonho, vejo erguer-se / à minha frente, bem iluminadas / pelo esplendor que a lua cheia difundia / através da janela aberta do meu quarto. / E pareceu-me ouvi-las proferir, / para tranquilizar-me, estas palavras:

" Elle-même, tonnant du milieu des nuages, / bouleversa les mers, déchaîna les orages, / dans un noir tourbillon saisit l'infortuné / qui vomissait des feux de son flanc sillonné, / et de son corps lancé sur des roches perçantes / attacha les lambeaux à leurs pointes sanglantes. "

"O raio rápido de Júpiter das nuvens / disparando, os navios dispersou, / os mares agitou com vendavais, / com turbilhão furioso arrebatou / aquele réu, de cujo peito traspassado / jorravam chamas; num rochedo pontiagudo / foi deixá-lo cravado. Isso ela fez!"

De sa postérité les rejetons naissants, / dont la foule chérie entourait ses vieux ans, / de ses cinquante fils les couches nuptiales, / ces dépouilles des rois, ces pompes triomphales, / trésors, enfants, grandeurs, tout périt sous ses yeux, / et le glaive détruit ce qu'épargnent les feux...

Aquelas câmaras cinquenta onde morava / a esperança de muitos, muitos netos, / os soberbos portais, ricos lavores / de ouro estrangeiro, espólios conquistados, / tudo são ruínas: onde falha o fogo, / faz-se presente o vandalismo aqueu.

" Aux enfers dès longtemps mon ombre dut descendre ; / depuis longtemps je meurs ; et mes jours odieux / sont à charge à la terre, et maudits par les dieux, / depuis que Jupiter, qui dut me mettre en poudre, / m'a flétri de ses feux, et frappé de sa foudre. "

"Há muito tempo odiado pelo Olimpo, / venho arrastando inutilmente a vida, / desde que o pai dos deuses, rei dos homens, / de leve me atingiu com o vento de seu raio / e com dedo de fogo me marcou.”

De la reine des nuits la course vagabonde, / et les feux éclipsés du grand astre du monde, / le pouvoir qui, créant l'homme et les animaux, / leur versa de la vie et les biens et les maux, / les orages, les feux, le char glacé de l'Ourse, / et les astres gémeaux qui conduisent sa course, / l'Hyade et ses torrents ; dit pourquoi des hivers / les jours si promptement se plongent dans les mers ; / d'où vient des nuits d'été la lenteur paresseuse. / Enfin, sur mille tons sa voix mélodieuse / chantait l'ordre des cieux et des astres divers ; / et sa noble harmonie imitait leurs concerts.

Canta as fases da Lua, os eclipses do Sol; / da raça humana a origem, de animais, / dos raios e da chuva; canta Arcturo, / as Híades imbríferas e as duas / Ursas; diz a razão de o sol de inverno / ter pressa de imergir nas águas do oceano, / e a de a noite estival chegar tão tarde.

De Ténédos leurs nefs partent sans bruit, / la lune en leur faveur laisse régner la nuit ; / l'onde nous les ramène, et la torche fatale / a fait briller ses feux sur la poupe royale. / À cet aspect, Sinon, que le ciel en courroux, / qu'une folle pitié protégea contre nous, / aux Grecs impatients ouvre enfin la barrière.

E já de Tênedos partia a armada grega / para o ataque, aprestada e protegida / pela cúmplice ausência do luar, / buscando praias mais que conhecidas. / Logo que a capitânia ergue o fanal, / Sínon, de iníquos deuses favorito, / furtivamente solta os dânaos alojados / no infausto ventre, abrindo o claustro de madeira.

" Vois-tu ces longs débris, ces pierres dispersées, / de ces brûlantes tours les masses renversées, / cette poudre, ces feux ondoyants dans les airs ? / Là, le trident en main, le puissant dieu des mers, / de la terre à grands coups entr'ouvrant les entrailles, / à leur base profonde arrache nos murailles, / et dans ses fondements déracine Ilion. "

"Lá onde vês aquelas grandes construções / convertendo-se em montes e mais montes / de pedras de outras pedras arrancadas; / onde estás vendo aquelas ondas de fumaça / misturada com pó, Netuno abala / com fortes golpes do tridente os muros, / arrasando a cidade desde as bases."

Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !

Pensei: “Não é que ela vai mesmo, sã e salva, / ver Micenas, Esparta, esposo, pais e filhos, / à pátria regressando em triunfo, qual rainha / à frente de um cortejo de mulheres / de Ílio e de toda a Frígia escravizadas! / Depois de Príamo haver sido morto a espada! / Depois de Troia ter ardido em vasto incêndio! / Depois de o litoral dardânio tantas vezes / ter-se embebido em nosso sangue!"

Quand Troie eut succombé, quand le fer et les feux / eurent détruit ses murs condamnés par les dieux, / et que, de ses grandeurs étonné de descendre, / le superbe Ilion fut caché sous la cendre, / innocents et proscrits, pour fixer nos destins, / il nous fallut chercher des rivages lointains. / Soumis aux lois du sort, aux oracles fidèle, / sous les hauteurs d'Antandre et du mont de Cybèle, / j'équipe des vaisseaux, incertain sur quel bord / vont nous guider les dieux, va nous jeter le sort.

Depois que aprouve aos deuses destruir / da Ásia o império e de Príamo a linhagem; / depois que sem motivo Ílion soberba / tombou e toda a Troia de Netuno / foi reduzida a escombros fumegantes, / somos levados a buscar terras distantes, / desabitadas, para o exílio que os augúrios / divinos, imprecisos, nos apontam. / E construímos, assim, bem junto a Antandro, / aos pés da frígia cordilheira do Ida, / uma frota e alistamos tripulantes, / sem saber aonde os fados nos conduzem, / onde vão permitir nos instalemos.

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".