Examples of using "Trembling" in a sentence and their french translations:
Je tremble,
Ses doigts tremblaient.
Il tremblait de colère.
On a senti la terre trembler.
Je tremble de peur.
Je tremblais de peur.
Elle tremblait de peur.
Tom tremble.
sa voix se brisant et ses mains tremblant,
Pourquoi trembles-tu ?
Je me suis réveillé, frissonnant et baigné d’une sueur froide.
Elle tremblait de peur.
Il essaya de paraître calme mais ses mains tremblantes le trahirent.
La fille tremblait de peur.
Il tremble comme une feuille.
Le bois était très sombre et elle ne pouvait s'empêcher de trembler de peur.
Mary ! s'écria le jeune homme en frémissant; Mary, vous ici, et dans un pareil état ?
Oh ! je sais bien qu'il est mort ! s'écria la tremblante fille en levant vers sa protectrice un visage inondé de larmes.
" Vois-tu ces longs débris, ces pierres dispersées, / de ces brûlantes tours les masses renversées, / cette poudre, ces feux ondoyants dans les airs ? / Là, le trident en main, le puissant dieu des mers, / de la terre à grands coups entr'ouvrant les entrailles, / à leur base profonde arrache nos murailles, / et dans ses fondements déracine Ilion. "
Je dis : et tout à coup je sens de l'immortel / s'agiter le laurier, et le temple, et l'autel. / Le mont tremble ; chacun vers la terre s'incline, / et ces mots sont sortis de l'enceinte divine :
Des lieux les plus obscurs nous traversons l'horreur ; / et moi, qui tant de fois avais vu sans terreur / et les bataillons grecs et le glaive homicide, / une ombre m'épouvante, un souffle m'intimide ; / je n'ose respirer, je tremble au moindre bruit, / et pour ce que je porte, et pour ce qui me suit.
" Mais avant, meurs ! " Il dit ; et, d'un bras sanguinaire, / du monarque traîné par ses cheveux blanchis, / et nageant dans le sang du dernier de ses fils, / il pousse vers l'autel la vieillesse tremblante ; / de l'autre, saisissant l'épée étincelante, / lève le fer mortel, l'enfonce, et de son flanc / arrache avec la vie un vain reste de sang.
Et, tel qu'un voyageur / qui sur un long serpent roulé dans son asile / appuie un pied pesant, soudain d'un saut agile / fuit le reptile affreux, qui, de terre élancé, s'allonge, et marche à lui fièrement courroucé : / tel ce Grec devant nous recule d'épouvante.
À ces mots, qui doublent mes alarmes, / je ne sais quel délire égara mes esprits ; / mais, tandis qu'éperdu, tremblant d'être surpris, / aux lieux les moins frayés je confiais ma fuite, / ma chère épouse, hélas ! que je crois à ma suite... / Sort cruel ! est-ce toi qui nous en séparas ? / Le chemin, trop pénible, arrêta-t-il ses pas ? / Ou dans ces noirs sentiers s'est-elle enfin perdue ? / Je ne sais.
Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts, / son antique palais forcé de toutes parts, / l'ennemi sous ses yeux, d'une armure impuissante / ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, / prend un glaive à son bras dès longtemps étranger, / et s'apprête à mourir plutôt qu'à se venger.