Examples of using "Rush" in a sentence and their french translations:
- Ne te précipite pas.
- Ne vous précipitez pas.
- Du calme.
- Tranquille.
- Il n'y a pas d'urgence.
- Il n'y a pas lieu de se précipiter.
- Il n'est pas nécessaire de se presser.
- Il n'y a pas lieu de se précipiter.
Ne vous précipitez pas !
C'est l'heure de pointe.
Ne précipitez pas les choses.
Pourquoi cette précipitation ?
Pourquoi cette précipitation ?
Nous ne voulons rien faire de précipité.
Ne faites rien d'irréfléchi.
Nous ne pouvons pas précipiter les choses.
Il n'est pas nécessaire de se presser.
J'étais pressée.
J'ai une montée d'adrénaline.
Je ne suis pas aux pièces.
- Tu es pressé ?
- Êtes-vous pressés ?
- Prends ton temps.
- Ne te précipite pas.
* musique rock rapide * trafic aux heures de pointe.
si la course devait être plus élevée?
Il n'est point besoin de précipiter les choses.
- Prends ton temps, il n'y a pas d'urgence.
- Prenez votre temps, il n'y a pas d'urgence.
Je veux éviter les heures de pointe.
Pourquoi cette précipitation ?
C'est l'heure de pointe à la gare de Tokyo.
Souvent, on se dépêche de réhabiliter ces lieux
J'étais pris dans les transports à l'heure de pointe.
Ne me bousculez pas.
Il n'y a pas d'urgence.
Et les Byzantins n'étaient pas pressés.
Il y eut une folle ruée vers la sortie.
Il a l'habitude de manger à la hâte.
Les fous se précipitent là où les anges craignent de mettre les pieds.
Quelle est cette urgence ?
Nous sommes pressés.
Tranquille.
Il y a une intensité dans l'affection et l'émotion, une frénésie.
Je suis remonté à toute vitesse.
Se faire coincer dans les bouchons aux heures de pointe, c’est affreux.
Pendant l'heure de pointe, la circulation à Tokyo est dense.
- La circulation s'effectue pare-chocs contre pare-chocs aux heures de pointe.
- On circule cul à cul aux heures de pointe.
Ne vous pressez pas pour les sortir de ce moment embarrassant.
Des milliers de gens sont morts durant la ruée vers l'or.
- Est-ce que vous êtes pressé ?
- Êtes-vous pressés ?
Si votre enfant boit du poison, emmenez-le d'urgence à l'hôpital.
J'étais pressée.
Oui, je suis pressé.
et j'ai développé le besoin de chercher toujours de nouvelles expériences.
Je préférerais partir tôt plutôt que prendre le train aux heures de pointe.
Un embouteillage durant les heures de pointe a retardé mon arrivée de deux heures.
Je déjeune habituellement à onze heures et demie pour éviter la cohue.
Mais si vous essayez d'aller vite, vous ne grandirez pas.
Il y a peu de monde à cette gare même à l'heure pointe de l'après-midi.
Je suis pressée.
Aux heures de pointe, il nous est difficile de trouver un taxi par ici.
Je ne voudrais pas te presser, mais essayons de prendre le prochain bus.
Oui, je suis pressé.
Aujourd'hui je quitte le travail un peu plus tard, afin d'éviter d'être surchargé de travail demain matin.
- Je ne suis pas pressé.
- Je ne suis pas pressée.
- Je ne suis pas aux pièces.
Tu te dépêchais.
Sur des stomatchs vides, les hommes se précipitent pour se former devant leurs tentes, dans des conditions glaciales.
Un combat tout nouveau de tous côtés s'engage, / sur les monstres ailés nous fondons avec rage.
Il a été fait à la va-vite.
J'ai beau me presser, différentes tâches s'entassent et je n'arrive pas à suivre.
Il n'y a pas le feu au lac.
- Je ne suis pas pressé.
- Je ne suis pas pressée.
Du calme.
- Reste cool.
- Calme-toi !
- Calme-toi.
- Relaxe, Max !
- Cool, Raoul !
- Du calme !
- Calmez-vous !
- Détends-toi.
- Tranquillisez-vous.
- Tranquille.
De héros sur ses pas une foule s'avance : / ici, c'est Périphas, fier de sa taille immense ; / là, c'est Automédon, qui d'Achille autrefois / vit les coursiers fougueux obéir à sa voix ; / et de Scyros enfin la jeunesse bouillante / fait voler jusqu'aux toits la flamme étincelante.
N'écoutant que ma rage, et sourd à la raison, / " Aux armes, mes amis ! sauvons la citadelle ! " / À ces mots, rassemblant une troupe fidèle, / j'y vole ; la fureur précipite mes pas ; / et je ne cherche plus qu'un glorieux trépas.
D'autres gagnent la mer, et d'une course agile / volent à leurs vaisseaux demander un asile, / ou vers l'affreux cheval courent épouvantés, / et rentrent dans les flancs qui les avaient portés.
Il dit : et la fureur enflamme mes esprits ; / je m'élance à travers le feu, le sang, les cris, / partout où la vengeance, où mon aveugle rage / et d'horribles clameurs appellent mon courage.
Je dois me hâter vers la gare pour encore attraper le dernier train.