Examples of using "Refrain" in a sentence and their french translations:
Abstenez-vous de fumer, s'il vous plait.
Merci de vous abstenir de fumer.
- Je me retiens de boire.
- Je m'abstiens de boire.
Merci de ne pas pousser.
Retiens-toi de faire d'autres commentaires.
Abstiens-toi de fumer ici, je te prie.
Tu devrais t'abstenir de fumer.
Ne me blesse pas, je te prie.
Ne me dérangez pas, s'il vous plaît.
- Veuillez ne pas fumer de cigarettes ici.
- Merci de ne pas fumer de cigarettes ici.
S'il vous plaît abstenez-vous de fumer dans les endroits publics.
- Veuillez ne pas fumer dans cette pièce.
- Prière de ne pas fumer dans cette pièce.
Merci de ne pas fumer ici.
S'il vous plaît, veuillez ne pas fumer lorsque les panneaux indicateurs sont allumés.
Elle ne pouvait s'empêcher de pleurer.
Je m'abstiens de boire.
Mon médecin m'a conseillé de m'abstenir de consommer de l'alcool pendant un certain temps.
C’est le cas par lequel le débiteur s’engage à s’abstenir de tel ou tel agissements vis à vis du créancier.
Et déjà sur la tombe appuyant mes genoux, / lutant contre la terre, et redoublant de force, / d'un troisième arbrisseau ma main pressait l'écorce, / quand du fond du tombeau ( j'en tremble encor d'effroi ! ) / une voix lamentable arrive jusqu'à moi :
- Il ne put retenir ses larmes.
- Il ne pourrait retenir ses larmes.
- Il n'a pas pu retenir ses larmes.
- Elle ne put retenir ses larmes.
- Elle ne pourrait retenir ses larmes.
- Elle n'a pas pu retenir ses larmes.
- Elle ne pouvait s'empêcher de pleurer.
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "