Examples of using "Greeks" in a sentence and their french translations:
Les Grecs aussi mangent souvent du poisson.
Les Grecs mangent aussi souvent du poisson.
Tous les hommes sont mortels, or les Grecs sont des hommes, donc les Grecs sont mortels.
Les Grecs aussi mangent souvent du poisson.
Les grecs mangent souvent du poisson aussi.
Les Grecs mangent aussi beaucoup de poisson.
Les Grecs avaient l'habitude de prier plusieurs dieux.
Les Grecs mangent aussi beaucoup de poisson.
donc sans avidité ni haine pour ces Grecs
Les Grecs, les Égyptiens, les Phéniciens et les Carthaginois ont découvert l'Europe.
Les Grecs aussi mangent souvent du poisson.
C'est ce que les Grecs anciens appelaient le centre de toutes les expressions.
Cela remonte aux Grecs anciens.
Les Grecs cédèrent du terrain sous la pression, ayant des pertes particulièrement lourdes.
La démocratie est un concept qui remonte aux anciens grecs.
Pendant ce temps, Vahan ordonna aux Arméniens et aux Grecs d'avancer, à un rythme plus lent.
Lui-même il se retrouve au plus fort des combats. / Il voit le noir Memnon de ses ardents climats / traîner ses noirs guerriers.
Entre 1000 et 800 avant Jésus-Christ, les Grecs ont adapté l'alphabet des Phéniciens à leur langue et y ont ajouté des voyelles.
Là, d'incroyables bruits, jusqu'à nous parvenus, / étonnent notre oreille : on nous dit qu'Hélénus, / enfant du dernier roi de la triste Pergame, / possède de Pyrrhus et le sceptre et la femme ; / qu'il commande à des Grecs, et qu'un dernier lien / met la veuve d'Hector dans les bras d'un Troyen.
" Dans le long cours des ans, / un jour, un jour viendra qu'en tous lieux triomphants, / à la superbe Argos, à la fière Mycènes, / les fils d'Assaracus imposeront des chaînes ; / les enfants des vaincus, tout-puissants à leur tour, / aux enfants des vainqueurs commanderont un jour. "
S'il est vrai que les Grecs interdisaient aux femmes d'aller au théâtre, ils agissaient correctement; car alors ils auraient été au moins capables d'entendre quelque chose.
Ici, devant Hector les Grecs fuyaient épars ; / là, les siens, foudroyés par l'aigrette d'Achille, / devant son char tonnant s'enfonçaient dans leur ville.
Un bouclier d'Abas, devenu ma conquête, / du temple par mes mains a décoré le faîte ; / et je grave au-dessous du monument guerrier : ÉNÉE AUX GRECS VAINQUEURS RAVIT CE BOUCLIER.
" Le doux aspect du Xanthe adoucit vos destins ; / notre Ilion revit relevé par vos mains. / Puisse un destin plus doux respecter votre ouvrage ! / Que la Grèce de Troie épargne au moins l'image ! "
Les Grecs inventèrent la virgule, non pour leur littérature mais pour leurs acteurs, pour les avertir de prendre une longue inspiration en préparation d'une longue phrase à venir ; une virgule représente donc une pause.
" Eh bien ! dédaignez donc mes prières, mes larmes ; / je pars : la mort pour moi n'eut jamais tant de charmes. / Rendez-moi l'ennemi, rendez-moi les combats : / tous les Grecs aujourd'hui ne nous survivront pas. "
Déjà l'Ida s'éclaire, et de l'astre du jour / l'étoile du matin annonce le retour ; / les Grecs de toutes parts ont investi les portes. / " C'en est fait, m'écriai-je : ô Destin ! tu l'emportes. " / Je pars, reprends mon père, et, guidé par les dieux, / transporte sur l'Ida ce fardeau précieux.
Tout l'irrite à la fois, et sa haine bravée / vit au fond de son cœur profondément gravée. / Aussi, du Latium fermant tous les chemins / aux vaincus épargnés par les Grecs inhumains, / sa haine insatiable en tous lieux suit sa proie, / et défend l'Ausonie aux grands destins de Troie : / l'inflexible destin, secondant son orgueil, / de rivage en rivage, et d'écueil en écueil, / prolongeait leur exil.
" Il est des bords fameux que l'on nomme Hespérie, / qu'autrefois ont peuplés des enfants d'Œnotrie, / riche et puissant empire. Italus, nous dit-on, / augmenta sa splendeur, et lui donna son nom. "
" Il est un lieu (les Grecs le nomment Hespérie), / pays riche et peuplé d'une race aguerrie ; / les fiers Œnotriens l'habitaient autrefois ; / Italus, après eux, le soumit à ses lois, / et l'Italie enfin est le nom qui lui reste. "
" Seul, désarmé, d'abord sur cette foule immense / son timide regard se promène en silence ; / tout à coup il s'écrie : " O sort ! ô désespoir ! / Quelles mers, quels pays voudront me recevoir ? / La Grèce me poursuit, et, par ma mort certaine, / les Troyens furieux vont assouvir leur haine ! " "
De ces armes couverts, sous un sinistre augure, / nous nous mêlons aux Grecs, et dans la nuit obscure / par une heureuse erreur nous triomphons d'abord. / Plus d'un guerrier d'Argos descend au sombre bord.
Dans l'ombre de la nuit, un célèbre guerrier, / Androgée, à nos coups vient s'offrir le premier. / Un corps nombreux le suit, il s'avance à leur tête, / et, nous croyant des Grecs : " Amis, qui vous arrête ? / Déjà nos compagnons, au pillage animés, / emportent d'Ilion les débris enflammés, / et vous, de vos vaisseaux vous descendez à peine ! "
" Oublie ici les Grecs et leur vaine fureur : / nous t'adoptons. Et toi, réponds sans artifice : / Pourquoi de ce cheval l'étonnant édifice ? / Dis, quel en est le but ? quel en est l'inventeur ? / Est-ce un hommage aux dieux ? est-ce un piège trompeur ? / Qu'en devons-nous penser ? et que devons-nous craindre ? "
" Ou les Grecs sont cachés dans ces vastes contours, / ou ce colosse altier, qui domine nos tours, / vient observer Pergame ; ou l'affreuse machine / de nos murs imprudents médite la ruine. / Craignez les Grecs, craignez leurs présents désastreux : / les dons d'un ennemi sont toujours dangereux. "
Enfin nous échappons de cette ville en cendre. / Nous nous croyions sauvés, lorsque je crois entendre / d'un bataillon nombreux les pas précipités ; / et, dans l'ombre jetant ses yeux épouvantés, / " Fuis, cours, fuis ! je les vois, je vois briller leurs armes ! " dit mon père.
" Palamède... A ce nom ma douleur se réveille, / et quelquefois, sans doute, il frappa votre oreille ; / cent fois la renommée a redit ses exploits... / seul contre cette guerre il éleva la voix ; / faussement accusé d'une trame secrète, / il périt, et la Grèce aujourd'hui le regrette. "
Tout bénit d'Actium la terre inattendue : / on dresse des autels ; on offre au roi des dieux / des expiations, de l'encens et des vœux ; / on s'applaudit d'avoir, comme une terre amie, / franchi de nos vainqueurs la contrée ennemie. / Enfin de nos lutteurs l'essaim est assemblé ; / sur leurs corps demi-nus des flots d'huile on coulée : / à ces jeux paternels nous volons avec joie, / et notre cœur palpite au souvenir de Troie.