Examples of using "Fierce" in a sentence and their french translations:
De violents combats sanglants éclatent.
La concurrence est féroce.
La compétition était acharnée.
Sa soif était ardente.
mêmes avec mes adversaires les plus farouches.
La concurrence est devenue féroce.
La nature peut être féroce.
Une bataille féroce s'est déroulée ici.
tantôt neutre, tantôt fluide, tantôt calme, tantôt intense.
Le Scolopendra subspinipes est rapide, fort et féroce.
Les soldats engagèrent une féroce bataille.
Mais très bientôt, la bataille deviendrait féroce.
les femmes et les filles sont une source immense de possibilités.
La concurrence est féroce pour les emplois disponibles.
Les combats sont féroces, car les deux parties veulent prouver leur supériorité.
Il m'a regardé fixement.
Une féroce mêlée sanglante se développe, contrairement aux rencontres habituelles de cavalerie mobile de l'époque.
Devant le vestibule, aux portes du palais, / Pyrrhus, le cœur brûlant d'une audace guerrière, / de ses armes d'airain fait jaillir la lumière.
Le nombre nous accable, et, le premier, hélas ! / Corèbe tombe mort aux autels de Pallas : / il tombe en défendant le jeune objet qu'il aime.
Trois autres, par l'Eurus, ô spectacle effroyable ! / sont jetés, enfoncés, enchaînés dans le sable.
Pour son fils malheureux pleine d'un tendre effroi, / cette ville suspecte et ce peuple sans foi, / Junon surtout, Junon, qu'un fier courroux dévore, / tout l'alarme, et la nuit sa crainte veille encore.
" De cent fameux combats on recherche la trace : / ici le fier Pyrrhus signalait son audace ; / là le fils de Thétis rangeait ses bataillons ; / ici c'était leur flotte, et là leurs pavillons. "
Chaque jour a son deuil ; l'animal expirant / perd la douce lumière, ou traîne un corps mourant : / plus d'épis pour l'été, plus de fruits pour l'automne, / et sur ces bords affreux la mort seule moissonne.
Tout à coup par des cris dans l'ombre redoublés / au palais de Priam nous sommes appelés. / C'est là que nous trouvons le plus affreux carnage.
" Ici, tonne en fureur l'implacable Junon : / debout, le fer en main, la vois-tu sous ces portes / appeler ses soldats ? Vois-tu de ces cohortes / l'Hellespont à grands flots lui vomir les secours ? "
" Mais, pour mieux vous calmer, je veux de votre Énée / suivre dans tout son cours la haute destinée. / De ce fils, votre amour, cent combats glorieux / signaleront bientôt le bras victorieux. / Vainqueur de l'Ausonie, à ses peuples dociles / il donnera des mœurs, et des lois, et des villes. / Là, tandis que l'état fleurira sous ses lois, / le printemps aux frimas succédera trois fois. "
" Là, des fiers Locriens s'élève la cité ; / là, commandant en paix à l'humble Pétilie, / Philoctète est content d'un coin de l'Italie ; / et, de Salente enfin inondant les sillons, / Idomenée au loin répand ses bataillons. "
Toutefois, s'alarmant pour un héros qu'elle aime, / Cythérée imagine un nouveau stratagème ; / elle veut qu'à l'instant le jeune Cupidon, / sous la forme d'Ascagne, admis près de Didon, / lui porte ces présents, et pour son cher Énée / embrase tous ses sens d'une ardeur effrénée.
Bientôt, pour ressaisir la fille de nos rois, / accourent en fureur tous les Grecs à la fois, / et le fougueux Ajax, et l'un et l'autre Atride, / et des Thessaliens l'escadron intrépide.
Errant en cent climats, triste jouet des flots, / longtemps le sort cruel poursuivit ce héros, / et servit de Junon la haine infatigable. / Que n'imagina point la déesse implacable.
Lui, dégouttant de sang, souillé de noirs poisons, / qui du bandeau sacré profanent les festons, / raidissant ses deux bras contre ces nœuds terribles, / exhale sa douleur en hurlements horribles.
" Qu'as-tu fait de ton père appesanti par l'âge, / d'une épouse, d'un fils, entourés de carnage, / entourés d'ennemis, et qui, sans mon secours, / par la flamme ou le fer auraient fini leurs jours ? "
Enfin nous échappons de cette ville en cendre. / Nous nous croyions sauvés, lorsque je crois entendre / d'un bataillon nombreux les pas précipités ; / et, dans l'ombre jetant ses yeux épouvantés, / " Fuis, cours, fuis ! je les vois, je vois briller leurs armes ! " dit mon père.
Tandis que dans le temple, empressé de tout voir, / en attendant la reine, il admire en silence / la pompe de ces lieux et leur magnificence, / il voit représentés tous ces fameux revers, / ces combats dont le bruit a rempli l'univers, / ce fier Agamemnon, ce Priam si sensible, / et ce fils de Pélée à tous les deux terrible.
Le vieillard, à ces mots, / de son cœur oppressé poussant de longs sanglots : / " Il est, il est venu ce jour épouvantable, / ce jour de nos grandeurs le terme inévitable : / Ilion, les Troyens, tout est anéanti. / De Jupiter sur nous le bras appesanti / livre aux enfants d'Argos leur malheureuse proie. "
" Ô des Grecs le plus brave et le plus formidable, / fils de Tydée, hélas ! sous ton bras redoutable, / dans les champs d'Ilion, les armes à la main, / que n'ais-je pu finir mon malheureux destin ; / dans ces champs où d'Achille Hector devint la proie, / où le grand Sarpédon périt aux yeux de Troie, / où le Xanthe effrayé roule encor dans ses flots / les casques et les dards, et les corps des héros ! "
Cependant Ilion au carnage est livré ; / déjà le bruit affreux (quoique, loin de la ville, / mon père eût sa demeure au fond d'un bois tranquille) / de moment en moment me frappe de plus près.
" Que les dieux, s'il en est qui vengent l'innocence, / t'accordent, malheureux ! ta juste récompense ; / toi qui d'un sang chéri souilles mes cheveux blancs, / qui sous les yeux d'un père égorges ses enfants. "
Tremblante pour sa gloire, et pour les Grecs qu'elle aime, / se rappelant encor tous ces fameux combats / que pour ces Grecs chéris avait livrés son bras, / une autre injure parle à son âme indignée.
" Non; et, quoique ma gloire en rougisse tout bas, / quoiqu'un si lâche exploit déshonore mon bras, / du moins de ce fléau j'aurai purgé la terre ; / son sang paîra le sang qu'a coûté cette guerre, / satisfera ma rage, et celle des Troyens, / et les mânes plaintifs de mes concitoyens. "
Tout l'irrite à la fois, et sa haine bravée / vit au fond de son cœur profondément gravée. / Aussi, du Latium fermant tous les chemins / aux vaincus épargnés par les Grecs inhumains, / sa haine insatiable en tous lieux suit sa proie, / et défend l'Ausonie aux grands destins de Troie : / l'inflexible destin, secondant son orgueil, / de rivage en rivage, et d'écueil en écueil, / prolongeait leur exil.
Muse, raconte-moi ces grands évènements ; / dis pourquoi de Junon les fiers ressentiments, / poursuivant en tous lieux le malheureux Énée, / troublèrent si longtemps la haute destinée / d'un prince magnanime, humain, religieux. / Tant de fiel entre-t-il dans les âmes des dieux !